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Y\'a quoi au ciné cette semaine ? (14-20 mars)

Publié le 13 mars 2018 à 11h00

Modifié le 14 mars 2018 à 16h30

par La Rédac'

Salut les cinéphiles ! Aujourd'hui c'est mercredi, et le mercredi c'est... ? Non, pas raviolis, enfin si, peut-être, mais on s'en fout, nous ce qui nous intéresse le mercredi, c'est les sorties ciné ! Voici donc nos recommandations de la semaine. 


America, de Claus Drexel

Un petit docu de temps en temps, ça ne peut pas faire de mal. On plonge ici dans l'Amérique profonde, en Arizona plus précisément, quelques jours avant l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Dans cette petite ville située sur la fameuse route 66, chacun a un avis bien arrêté sur celui ou celle qui devrait diriger son pays. Les images sont sublimes, et le constat, on l'imagine aisément, souvent effrayant. 


Chien
, de Samuel Benchetrit

On ne sait pas grand-chose sur ce film, mais les trois noms qui ornent la très belle affiche (Vincent Macaigne, Bouli Lanners, Vanessa Paradis) associés à celui du réalisateur Samuel Benchetrit, ça donne assez envie. A priori, il s'agit d'un type - Vincent Macaigne, donc - qui pète les plombs suite à un immense coup de lose, et qui se prend pour un chien. Voyez plutôt : 


Avant que nous disparaissions
, de Kiyoshi Kurosawa

Alors le titre fait un peu film français contemplatif, mais en fait pas du tout. On est plutôt sur un film de science-fiction japonais à l'atmosphère surnaturelle et violente, dont l'action se situe dans un futur proche, par le génial réalisateur de Creepy et Vers l'autre rive, un grand nom du cinéma japonais contemporain. Franchement ça a l'air dingue, regardez-moi ça ! 


Hostiles
, de Scott Cooper

Parce que le western est un genre devenu rare, que le rôle principal appartient à Christian Bale, toujours impeccable, que la photo a l'air top, qu'on adore se balader dans les grands espaces de l'Ouest américain, que Rosamund Pike est une super actrice au charme british absolument délicieux, qu'y'a l'air d'y avoir pas mal de baston de type cow-boys VS indiens comme quand on était mômes mais en plus réaliste... bref, parce que ça a l'air vraiment bien. 

 

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Le centre-ville de Bordeaux sera définitivement interdit aux voitures d'ici 2026

Publié hier à 20h30

par La Rédac'

Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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