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Vincent Cassel, Laura Felpin : cette comédie musicale au casting fou bientôt sur Netflix

Publié le 28 février 2025 à 15h30

Modifié le 28 février 2025 à 15h34

par Flora Gendrault

Pour son premier long-métrage, Bertrand de Langeron, graphiste du label Ed Banger et réalisateur de clips mythiques, n’y est pas allé de main morte. Soutenu par la société de production Iconoclast (Athena, Spring Breakers), celui que l’on appelle communément SoMe a d’abord imaginé un thriller comique entre espionnage et musique, puis convoqué des têtes bien connues de la scène humoristique française pour assaisonner le tout. Ça donne Banger, une mixture inqualifiable qui s’annonce bien barrée et dont les principales punchlines nous ont été jetées en pâture dans un teaser explosif. 

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Deux DJs, un seul Banger à décrocher 

Le ton est donné dès les premières secondes. Vincent Cassel, veste de survêtement trop petite sur le dos, chauffe les troupes à travers un clip promotionnel ringard. Son nom de scène ? Scorpex. Une triste prestation, constate Rose Espino (Laura Felpin, vue récemment dans Bref.2), agente de la DGSI, et tant mieux : c’est dans sa vulnérabilité qu’il lui sera le plus utile. Scorpex doit en effet l'aider à coincer Vestax (Mister V), son rival musical bien plus populaire, impliqué dans une affaire de stup. À la clé : évincer cette « petite merde », comme il le décrit, et revenir sur le devant de la scène avec un banger. 

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Distribution de haut vol

Si la bande annonce de cette comédie à la sauce netflixienne dévoile déjà la moitié de ses péripéties (et sûrement ses principaux highlights humoristiques), on note aussi un gros potentiel. Pour sa bande originale aux sonorités électro, d’abord, mais aussi son casting, complété par Alexis Manenti en caïd nerveux, Panayotis Pascot, malheureux porteur d’un prénom incongru, Manu Payet, Philippe Katerine ou, plus inattendu, la photographe Alice Moitié.

Un cocktail de stars adorées de la jeune génération pour créer l’événement, auquel s’ajoute la musique, « l’un des acteurs du film », expliquait Bertrand de Langeron à Vanity Fair lors du tournage. Un film à mi-chemin entre le déclin et la gloire, le thriller et la comédie, le drame et l’absurde, à dévorer d’une traite dès le 2 avril sur la plateforme au N rouge. 

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Goombah, le premier resto bordelais à servir les véritables meatballs américaines

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Une dualité des cultures audacieuse 

Un vent de nouveauté souffle sur la scène gastronomique du quartier Saint-Pierre. Depuis le 30 janvier 2025, Goombah s'impose comme le premier restaurant italo-new-yorkais de la ville, avec une promesse alléchante : découvrir une cuisine fusion qui mêle avec brio l'authenticité des saveurs italiennes et l'énergie débridée de la culture américaine. Pour fêter son arrivée en fanfare, le restaurant a lancé un concours insolite sur son compte Instagram : son âge à gagner en meatballs !

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Goombah, le nouveau voyou gourmand de Bordeaux

Ouvert par Gabriel, 29 ans, issu du monde de la restauration et arrière-petit-fils d’immigré italien, Goombah signifie "voyou" ou "mafieux" dans le langage  populaire commun. Une référence à la grande vague d'immigration sicilienne aux États-Unis, où ce mot a évolué pour devenir un symbole d'appartenance et d'intégration. Un clin d'œil à la culture italienne en terre américaine, véritable modèle pour Gabriel qui souhaite le retranscrire dans son restaurant.

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Un club pour les pasta-lovers 

La carte propose une expérience culinaire qui ne ressemble à aucune autre. Au cœur du concept, les célèbres meatballs américaines mijotées dans une sauce tomate maison, et accompagnées d'une montagne spaghettis. Un inconditionnel de New-York, proposé en entrée ou en plat principal pour 16€. 

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Recettes généreuses, iconiques et réconfortantes

Mais Goombah ne se limite pas à cela. Des touches de la cuisine new-yorkaise côtoient des classiques de la gastronomie italiennes pour créer la surprise : rigatoni à la vodka, pâtes au homard frais, côte de veau hyper-tendre à la parmigiana ou tiramisu en sont les meilleurs illustres. Ici, le cheddar s'acoquine à la scamorza fumée, pour créer une fusion réussie entre les deux cultures. Cerise sur le tiramisu ? Les pâtes sont faites maison chaque jour, avec amour et respect de la tradition.

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Goombah mise sur l’authenticité et la convivialité, dans un cadre urbain qui évoque l’atmosphère des quartiers branchés de la ville qui ne dort jamais. Des murs en béton brut, des banquettes en cuir, une playlist hip-hop et une lumière tamisée à la bougie créent une ambiance chaleureuse en soirée. "Il se peut, si les clients le souhaitent, que le dîner se finisse en dansant sur des chansons cultes et un peu kitsch de la culture italienne" nous confie Gabriel, heureux de voir ses convives s'épanouir entre ses murs. 

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Bientôt, une nouvelle offre dominicale invitera les Bordelais à partager une formule à l’esprit de grande tablée, avec des plats traditionnels italiens à savourer en famille ou entre amis, dans une ambiance décontractée et conviviale.

Adresse: 6 Rue des Lauriers, 33000 Bordeaux, France


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