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Retour en enfance : un bar à coquillettes livre à Bordeaux !

Publié le 17 mars 2023 à 16h55

Modifié le 4 décembre 2023 à 10h15

par Tifaine Pimentel

Dans la famille des plats les plus réconfortants du monde, je demande les coquillettes ! Au jambon, au fromage ou juste nature, ces minuscules pâtes ont le pouvoir de nous combler de bonheur et de balayer tous nos tracas et maladies en un rien de temps. Et comme on adore toujours se réconforter avec de la bouffe, cette adresse devrait nous faire de l’oeil depuis quelques mois, mais les prix semblent un peu controversés...

L’établissement spécialisé dans la livraison à Bordeaux se nomme simplement et efficacement « Coquillettes ». Et comme son nom l’indique, les petites pastas courbées y sont les reines des lieux et pimpées à toutes les sauces. Pour tous les goûts, toutes les envies et tous les soucis.

Des coquillettes à toutes les sauces

Chez Coquillettes, on retrouve plusieurs recettes de coquillettes différentes et toutes plus appétissantes les unes que les autres : la Coqui’cheese (emmental rapé, gorgonzola, chèvre), la Coqui-carbo (jambon blanc, oeufs brouillés) , la Coqui’cheddar (cheddar, crispy onions), la Coqui'chicken boursin (poulet aux épices, boursin ail et fines herbes et sauce crémeuse maison), la Coqui'chèvre miel (chèvre, miel, crispy onions), la Coquiflette (lardons, reblochon, oignons, vin blanc et crème), la Coquitruffe (jambon blanc, emmental râpé et sauce crémeuse maison à la truffe), la Mamie Casserole (boeuf mijoté façon bourguignonne) et les coquillettes à pimper soi-même.

Sauf que voilà, les prix coûtent environ entre 12,90 et 15,90€... Sachant que les recettes se veulent tout de même plus élaborées que celles qu'on se fait en général à la maison ! Mais cela n'a pas empêché de faire grincer quelques dents, surtout quand on connaît le prix d'un paquet en grande surface... Si le sujet est certes un peu "touchy", ça n'enlèvera toutefois jamais notre amour inconditionnel pour ces pâtes "madeleine de Proust" ! J'ai tort ? 

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Les parents préfèreraient leurs filles à leurs garçons, selon une étude

Publié aujourd'hui à 17h00

Modifié aujourd'hui à 17h03

par Lucie Guerra

Les découvertes dans le domaine de la psychologie continuent de nous surprendre. Récemment, les scientifiques de la Brigham Young University dans l’Utah, se sont penchés sur la question du favoritisme parental. Publiée dans le journal Psychological Bulletin, l’étude révèle notamment que le traitement des parents n’est pas le même selon que leur progéniture soit un garçon ou une fille


Les filles et les enfants consciencieux sont les plus favorisés 

Vous vous êtes déjà demandé·e si vos parents préféraient vos frères ou sœurs à vous ? Figurez-vous que c’est fortement possible. « Cette étude nous aide à comprendre quels enfants sont plus susceptibles d’être les récipiendaires de favoritisme, qu’il soit positif ou négatif », explique Alexander Jensen, professeur à la Brigham Young University. 

Si l’on aurait généralement tendance à penser que les mères favorisent leurs filles et les pères privilégient leurs fils, les résultats de l’étude ont montré que les mères et les pères sont plus enclins à favoriser leurs filles. En plus de cela, les données montrent que les enfants plus consciencieux, responsables et organisés reçoivent un traitement plus favorable. « Depuis des décennies, les chercheurs savent que les différences de traitement de la part des parents peuvent avoir des conséquences durables sur les enfants », précise-t-il. 


Cinq domaines analysés

Pour mener leur étude à bien, les scientifiques se sont appuyés sur l’ordre de naissance, le sexe, le tempérament et les traits de personnalité. Les résultats de 30 études précédentes portant sur 20 000 participant·es ont été passés au peigne fin. 

Cinq domaines ont été mis en lumière : le traitement général de l’enfant, les interactions positives, les interactions négatives, le contrôle et l’allocation des ressources. Les scientifiques ont notamment pu déterminer que le favoritisme pouvait s’exercer sous différentes formes parmi ces thématiques. « Comprendre ces nuances peut aider les parents et les cliniciens à reconnaître les schémas familiaux potentiellement préjudiciables. Il est essentiel de veiller à ce que tous les enfants se sentent aimés et soutenus », affirme Alexander Jensen.


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