kripsy-kreme

Les mythiques donuts américains Krispy Kreme débarquent enfin en France

Publié le 16 novembre 2022 à 14h07

Modifié le 16 novembre 2022 à 15h20

par Mégane Lourenco

Krispy Kreme, c'est clairement la marque phare des donuts à l'américaine. Créée en 1937, elle s'est désormais implantée dans une trentaine de pays sans pour autant ne jamais ouvrir le moindre corner en France ! Shame ! Mais bon, cela est enfin révolu grâce au propriétaire de la chaîne Colombus Café & Co : Wagram Finances.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Krispy Kreme Doughnuts (@krispykreme)

L'ouverture des premiers shops Krispy Kreme se feront durant l'été 2023 avec le produit star : le donut Original Glazed. Vous retrouverez aussi les recettes inchangées depuis des années : au chocolat, avec du sucre glace, à la fraise, à la pomme... Mais aussi des recettes en édition limitée en fonction de la saison et de la période de l'année !

"Je suis très excité à l'idée de pouvoir implanter Krispy Kreme en France, avec des objectifs très ambitieux. Krispy Kreme est une marque incroyable que je découvre un peu plus chaque jour, très appréciée des consommateurs partout où elle est présente, proposant un produit unique, très accessible, qui peut être vendu dans tous les canaux de distribution. Les Français seront à leur tour très vite séduits par l'Original Glazed, mais pas que", dixit le directeur général de Krispy Kreme en France, Alexandre Maizoué.

Les premiers shops se feront possiblement dans la capitale avant de s'étendre dans toutes les grandes villes françaises ! "L'Europe de l'Ouest est une région très importante pour notre entreprise qui entend y concentrer ses efforts d'expansion future. Nous sommes convaincus que Paris, la ville lumière, ville de l'amour, est l'étape idéale pour nous embarquer dans ce voyage", explique le président de Krispy Kreme, Mike Tattersfield.

Hâte de goûter LES fameux donuts américains !

via GIPHY

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
shutterstock-2465335381

Les parents préfèreraient leurs filles à leurs garçons, selon une étude

Publié aujourd'hui à 17h00

Modifié aujourd'hui à 17h03

par Lucie Guerra

Les découvertes dans le domaine de la psychologie continuent de nous surprendre. Récemment, les scientifiques de la Brigham Young University dans l’Utah, se sont penchés sur la question du favoritisme parental. Publiée dans le journal Psychological Bulletin, l’étude révèle notamment que le traitement des parents n’est pas le même selon que leur progéniture soit un garçon ou une fille


Les filles et les enfants consciencieux sont les plus favorisés 

Vous vous êtes déjà demandé·e si vos parents préféraient vos frères ou sœurs à vous ? Figurez-vous que c’est fortement possible. « Cette étude nous aide à comprendre quels enfants sont plus susceptibles d’être les récipiendaires de favoritisme, qu’il soit positif ou négatif », explique Alexander Jensen, professeur à la Brigham Young University. 

Si l’on aurait généralement tendance à penser que les mères favorisent leurs filles et les pères privilégient leurs fils, les résultats de l’étude ont montré que les mères et les pères sont plus enclins à favoriser leurs filles. En plus de cela, les données montrent que les enfants plus consciencieux, responsables et organisés reçoivent un traitement plus favorable. « Depuis des décennies, les chercheurs savent que les différences de traitement de la part des parents peuvent avoir des conséquences durables sur les enfants », précise-t-il. 


Cinq domaines analysés

Pour mener leur étude à bien, les scientifiques se sont appuyés sur l’ordre de naissance, le sexe, le tempérament et les traits de personnalité. Les résultats de 30 études précédentes portant sur 20 000 participant·es ont été passés au peigne fin. 

Cinq domaines ont été mis en lumière : le traitement général de l’enfant, les interactions positives, les interactions négatives, le contrôle et l’allocation des ressources. Les scientifiques ont notamment pu déterminer que le favoritisme pouvait s’exercer sous différentes formes parmi ces thématiques. « Comprendre ces nuances peut aider les parents et les cliniciens à reconnaître les schémas familiaux potentiellement préjudiciables. Il est essentiel de veiller à ce que tous les enfants se sentent aimés et soutenus », affirme Alexander Jensen.


À LIRE AUSSI