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Le meilleur gin du monde élevé en fût est un Bordeaux

Publié le 3 juin 2021 à 18h11

Modifié le 30 août 2021 à 17h12

par La Rédac'

Le travail intense mené par Sabine et François Lurton au sein d'une PME Bordelaise pour offrir un gin français singulier et d’exception a été très largement récompensé. Depuis 21 ans, des spiritueux de plus de 60 pays sont évalués à l'aveugle par un panel de professionnels lors du très reconnu SFWSC. En 2021, leur gin y a été élu Meilleur Gin élevé en fût et récompensé d'une double médaille d’or, décernée seulement aux spiritueux ayant fait l'unanimité du jury.

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Une PME Bordelaise à l'honneur 

Sorgin (sorcière en Basque) est le premier spiritueux de Sabine Jaren et François Lurton, vigneron et propriétaire de domaines à l’international, descendant d’une famille de viticulteurs installée à Château Bonnet dans l’Entre-Deux-Mers. En 2017, ils créent Sorgin, le premier et unique gin de sauvignon blanc. Puis, ils innovent en travaillant l'élevage de Sorgin en barrique et élaborent le premier batch de Yellow Gin. Quelques années plus tard, leur innovation est double médaillée d'or au SFWSC !

Le mariage ensorcelant du vin et du gin 

Pour les fins connaisseurs, Sorgin est un gin complexe, qui sublime le genièvre et le Sauvignon avec des notes fruitées et végétales en arrière-plan. Le Sorgin Yellow Gin est vieilli six mois en barriques de chêne ayant contenues des vins de Sauvignon Blanc de Pessac-Léognan et de Graves. Chaque lot, unique, est numéroté à la main. Sa complexité aromatique se révèle à travers ses notes d'épices douces et de fruits jaunes. Excellent gin de dégustation, il s'apprécie sec ou sur glace avec un zeste d'orange. Il saura également sublimer vos cocktails short drinks.

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Les travaux pour rénover le pont de Pierre vont suspendre les trams cet été à Bordeaux

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La Rédac'

À partir du printemps 2025, Bordeaux Métropole lance un chantier de grande envergure entre la place Stalingrad et la porte de Bourgogne, visant à rénover le Pont de Pierre et moderniser le réseau de tramway. Ces travaux auront un impact majeur sur la circulation des trams de juin à août, perturbant les lignes A, C et D pendant trois mois.

Un chantier titanesque dès le printemps 2025 

Le projet comprend deux volets : la rénovation du Pont de Pierre, qui sera inaccessibile pour les trams, bus et taxis, et la modernisation du réseau à la porte de Bourgogne, avec l’installation de nouveaux aiguillages. L’objectif est de renforcer l’infrastructure et d’améliorer la continuité du service de transport public âgé de 20 ans tout en créant deux nouvelles lignes de tram : les liaisons E et F, qui relieront respectivement la gare à l’aéroport et la Rive-Droite à Blanquefort.

Aucun tramway, ni bus, ni taxi vont pouvoir circuler 

« Ce chantier est l’un des plus importants de ces vingt dernières années », souligne la Métropole. Si l'enjeu est crucial pour la préservation du Pont de Pierre, il va provoquer des désagréments pour les usagers, notamment avec la suspension partielle du tramway durant l’été. Un vaste plan de substitution sera mis en place, avec notamment une augmentation des fréquences sur la ligne 16 et un encouragement au recours aux modes de transport doux, comme la marche ou le vélo.

Les travaux sur le Pont de Pierre, d'une durée de 52 mois pour un budget de 50 millions d’euros, visent à consolider la structure vieillissante du pont, jugée proche de sa limite d’élasticité. Parmi les interventions, l’insertion de 160 micropieux dans les fondations du pont devrait renforcer sa stabilité.

Pour une meilleure mobilité à venir

Dans le même temps, le réseau de tramway à la porte de Bourgogne sera modernisé pour améliorer sa fiabilité et sa capacité. Ces améliorations devraient permettre de renforcer le service tout en créant de nouvelles connexions pour les usagers. Ce double chantier, à la fois ambitieux et complexe, façonnera le futur du transport à Bordeaux, mais en attendant, il faudra faire preuve de patience et d’adaptation face aux perturbations à venir.

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