parc-aux-ang-liques-nicolas-duffaure-0

Les plus beaux spots où admirer le coucher de soleil à Bordeaux

Publié le 29 mars 2021 à 16h06

Modifié le 28 juillet 2021 à 14h24

par La Rédac'

Parc aux Angéliques

Direction rive droite, lieu le plus stratégique pour profiter du soleil jusqu’à son coucher. On ne va pas se le cacher, tu as beau vouloir te poser sur les quais rive gauche mais tu sais pertinemment que le temps de la déception t’attend car à 18h30 le soleil n’est plus à son apogée. Tu insistes pour que tes potes te suivent aux Angéliques pour un moment coupé de la foule bordelaise et t’asseoir sur l’herbe sublimement verte.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par PREMIUS 🍷 (@premius.bordeaux)

Le balcon de ton pote

Lorsqu’on a la chance d’avoir un pote qui a un balcon, c’est évident : on s’invite chez lui pour finir sa journée en beauté et siroter un verre de vin qu’il t’aura gentiment servi pour que ton corps se détende avec respect. Car oui, le vin est ton deuxième meilleur ami : il t’aime, te chérit et ne te déçoit jamais. Tu l’auras compris, le combo parfait c’est « voir son meilleur pote et déguster un bon verre de wine sur son balcon».

Toit du Parking Victor Hugo

À celles et ceux qui travaillent au centre-ville, vous n’aurez qu’à débaucher et retrouver vos potes sur le toit du Parking Victor Hugo pour profiter des derniers rayons que le soleil a à vous donner. En plus d’avoir une vue sur la grosse cloche, vous décompresserez et ferez le plein de vitamine D pour la journée qui vous attend demain.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par @bdbordelaise

Les classiques quais rive gauche

Pour celles et ceux qui n’ont pas peur de se faire surprendre par un soleil couchant et un petit vent de fraîcheur, vous tenterez bien évidemment le miroir d’eau. Vous achèterez votre bière aux seuls endroits qui ont compris votre détresse qui n’est autre que celle de l’ivresse. Vous prendrez votre pinte et vous poserez plein sun là où la vie semble ne pas avoir changée.

Le belvédère du Cypressat

Tu sors du boulot à Cenon et fonces au parc du Cypressat avec tes collègues pour bitcher sur ta patronne aigrie qui hait la vie et ta joie de vivre. Tu es tellement aux 100 coups que marcher jusqu’au sommet du Parc ne t’effraie pas. Heureusement une fois arrivé, tu as retrouvé ton calme pour admirer la vue et profiter du sunshine. La nature ça détend !

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Piera TuZzi (@awanasghenc)

Mériadeck Esplanade

Tu fais partie des gens qui ont la chance de finir à 17h, alors tu proposes à ton mec de te retrouver sur l’esplanade Charles de Gaulle pour profiter du soleil avant d’aller périr chez vous. Tu lui racontes ta journée qui s’est étrangement bien passée parce que pour une fois tu n’as pas fait que des photocopies. Alors tu savoures jusqu’au bout ce jour si particulier où ton boss t’a enfin respecté.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Bordeaux (@bordeauxmaville)

La fenêtre de chez toi

T’as pas d’amis, pas de balcon, mais t’as une fenêtre. En tout cas tu veux rentrer chez toi parce que tu sais qu’elle est suffisamment bien exposée pour prendre le soleil après être sortie du boulot. D’ailleurs tu crois que tu vas bronzer et tu te mets du monoï parce qu’après tout, le summer body ça se prépare dès maintenant. De toute façon la plus belle d’Europe c’est toi.

Parc de Peixotto

Tu vis à Talence dans une résidence, les cours en visio sont terminés, l’instant bière s’est évidemment confirmé. Toi et tes potes partez en direction du Parc de Peixotto pour décompresser et renouer avec vos affinités d’une époque « où voir ses copains d’école était encore possible ». Tu te sens si à l’aise dans ce jardin à la Française que tu te fais des plans sur la comète : l’année prochaine on partira tous en Erasmus. L’espoir fait vivre !

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
festival-isulia-bordeaux

Un Open Air de 8H va avoir lieu dans une ancienne raffinerie en plein Bordeaux

Publié hier à 18h30

par La Rédac'

L’arrivée du printemps célébrée à ciel ouvert

Isulia signe le grand retour des Open Air printanniers le samedi 19 avril 2025, à La Cité Bleue, dans le quartier de Bacalan. De 16h à 00h, ce format condensé du festival Isulia promet un concentré d’énergies plurielles et de créations engagées, entre concerts, performances artistiques et espaces immersifs. Organisé dans les vestiges industriels d'une ancienne raffinerie réinventée en haut lieu culturel, l’événement s’annonce comme un moment fort de la saison avec plus de 1000 m2 dédiés à la fête. 

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Isulia Festival (@weareisulia)


Une fusion entre danse, exploration et partage

Né en 2021, Isulia dépasse les frontières d'un simple festival : c’est un espace vivant, libre et inclusif, où s’entrelacent création, réflexion et engagement. Témoin des mutations artistiques et sociétales, il s'affirme comme un laboratoire d’idées et une plateforme pour les nouvelles voix de la culture indépendante. Isulia défend une vision fédératrice de la fête, où l'art rencontre le sens, et la musique, les consciences.

isulia-bordeaux©François Blanchard

Pensé dans une logique écoresponsable, l’événement privilégie les circuits courts, les options végétariennes et la réduction des risques, avec la présence d'une brigade de bénévoles et de dispositifs de prévention pour garantir un espace sûr et bienveillant à tous·tes.

Un line-up exigeant, pensé pour surprendre et rassembler

Parmi les artistes attendus, le duo Belaria B2B Soyoon réunit deux figures montantes de la scène électronique. Belaria, résidente du Badaboum et de Rinse France, tisse ses sets entre EBM, Italo Body Music et techno planante, dans une esthétique post-punk affirmée. À ses côtés, Soyoon — originaire de Séoul et révélée par Boiler Room — infuse ses performances d’une énergie rave 90s et d’éclectisme radical, forte de résidences au Macadam et au Mihn Club de Hong Kong.


Autre nom à suivre : Salomée, résidente de l’IBoat, qui mêle électro hypnotique et techno lumineuse, en distillant ses sets exclusivement sur vinyle. Le collectif local Heavydance, fer de lance de la scène bordelaise underground, complète l’affiche avec un live à haute intensité, entre puissance brute et liberté sonore.


Une onde collective hors du temps ancrée sur la scène bordelaise 

Isulia continue de tisser son identité : plurielle, indépendante, inclusive et profondément tournée vers le collectif. Bien connu des Bordelais pour sa programmation libre et vibrante, le festival Isulia avait réuni 6 000 festivaliers et festivalières, 32 artistes et groupes et 45 intervenant·e·s pour ses talks l'an dernier. Aucun doute que le prochain tome ne connaisse autant (sinon plus) de succès. 


La billetterie est en ligne 


À LIRE AUSSI