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15 ans après, Élie Semoun et Franck Dubosc relancent leurs Petites annonces

Publié le 8 avril 2024 à 18h25

Modifié le 9 avril 2024 à 09h58

par Flora Gendrault

Les petites annonces vont officiellement reprendre du service ! Presque 16 ans après leur épisode final en 2008 et quelques timides relances en 2015 et 2017, Élie Semoun et Franck Dubosc ont réitéré leur envie de retrouver leur duo vedette, à la tête de courts sketchs à l’humour potache très populaires dès la fin des années 90. 


Franck Dubosc appelé en direct par Élie Semoun

C’est sur le plateau de la nouvelle émission de M6 La grande semaine, samedi 6 avril, qu’un retour en grande pompe de Miqueline, Rodriguez et tous les autres s’est officialisé. Élie Semoun, qui avait déjà exprimé à plusieurs reprises son désir de reprendre l’émission, était l’invité d’Ophélie Meunier, présentatrice de Zone interdite. Interrogé sur ce projet, l’humoriste a expliqué ne pas pouvoir faire d’annonce officielle sans l'approbation de son acolyte du petit écran. Du coup, il n'a pas perdu de temps et l'a appelé en direct.  

« On est avec Élie Semoun, qui est notre premier invité, et évidemment on se souvient de vos moments forts dans Les Petites annonces. Et on a vraiment officiellement envie de te demander de l’accompagner pour relancer ce phénomène, est-ce que tu nous dis oui ? », a demandé Ophélie Meunier à Franck Dubosc. Une passe D inattendue, bien qu’espérée depuis des années. 

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Un « moment solennel » 

« J’ai envie de dire oui », s’est empressé de répondre Franck Dubosc. Une bonne nouvelle qui a ravi présentatrice comme téléspectateurs : « C’est un moment solennel, c’est officiellement le retour des Petites annonces avec Élie Semoun et Franck Dubosc », a applaudi Ophélie Meunier. Ce reboot pourrait rassembler d’autres visages bien connus de la scène humoristique française, la recette du succès des Petites annonces tenant aussi à ses nombreux guests (Dany Boon, Jamel Debbouze, Marina Foïs...). 

En tout cas, comme Élie Semoun l'a confié à Télé Loisirs, il regorge d’idées : « Je pourrais ressusciter Miqueline, Rodriguez, et il y a tellement d’idiots dans la société, d’associations débiles, de gens qui se plaignent de tout, de gens qui râlent, qui veulent s’affirmer, qui veulent exister, il y a de quoi faire, c’est à mourir de rire ! »

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Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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