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Bordeaux accueillera la Coupe du Monde de Rugby en 2023

Publié le 3 juillet 2019 à 09h01

Modifié le 3 juillet 2019 à 09h19

par Juliette A

Un accord entre le Comité d’Organisation France 2023 et SBA, société gestionnaire et exploitante du Stade de Bordeaux vient d'être signé. C'est officiel, Bordeaux recevra la Coupe du Monde de rugby 2023. 4 rencontres (à minima) devraient se jouer dans la cité Girondine au stade Matmut Atlantique. 

C'est certainement l'actualité sportive la plus importante de cette année 2019. Après Saint-Etienne (Auvergne-Rhône-Alpes), Bordeaux est la deuxième ville choisie pour être hôte de la Coupe du Monde de Rugby 2023. Une convention de partenariat a été signée entre le comité d’organisation France 2023 et la société gestionnaire et exploitante du stade

La compétition, qui aura lieu en France, se déroulera dans 9 villes de l'hexagone. Saint-Etienne, Lille et Bordeaux ont déjà été officialisées. Désormais, de nouvelles conventions seront présentées devant les conseils municipaux et métropolitains de Nice, Marseille et Nantes dans les prochaines semaines.

Un quart de finale à Bordeaux ? 

« La société Stade Bordeaux Atlantique est heureuse de s’inscrire dans la continuité du succès rencontré lors des demi-finales du TOP 14 qui se sont déroulées au début du mois de juin dernier. La plus grande enceinte sportive et de spectacles de l’ouest de la France ne pouvait que répondre présente, et accompagner l’accueil d’une manifestation aussi prestigieuse que la Coupe du Monde de Rugby 2023 ! » se réjouit Christophe PIERREL (Président de la société Stade Bordeaux Atlantique).

Ce n'est pas juste un essai, mais bien une certitude. Cet accord permettra à Bordeaux d’accueillir à minima 4 matchs de la Coupe du Monde de Rugby 2023. Le stade Matmut Atlantique devrait recevoir des matchs de poule et peut-être un quart de finale, pour la plus grande fierté des amateurs de la discipline. Pour lors, la question reste sur la touche ... 

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Le centre-ville de Bordeaux sera définitivement interdit aux voitures d'ici 2026

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par La Rédac'

Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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