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Bordeaux, c'est beau, mais c'est cher !

Publié le 1 avril 2016 à 00h00

Modifié le 23 juin 2016 à 02h03

par Loraine

L'agence de voyages en ligne Allovoyages.fr a comparé 30 destinations françaises en fonction du coût des hôtels, durant la période de Pâques... Bordeaux se retrouve sur la première marche du podium, largement devant la capitale... Pas glop.

Comme pour contrebalancer toutes les classements élogieux qui ont fait de Bordeaux une destination prisée, une récente étude du site Allovoyage risque bien de dissuader quelques vacanciers de faire le voyage !

Bordeaux, c'est beau. Si notre objectivité peut être contestée, plusieurs sons de cloche nationaux, voire internationaux, à l'image de "Vogue US" ou du "New York Times", sont venus confirmer cet état de fait. Mais tout a un prix. Et celui de la préfecture aquitaine serait en moyenne de 86 euros la nuit pour une chambre double entre le 2 avril et le 1er mai.

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Cette période n'a pas été choisie au hasard, puisqu'elle couvre les vacances scolaires des trois zones françaises. Et c'est sur ce laps de temps que l'agence de booking Allovoyage a mené une étude comparative sur 30 destinations en fonction du coût du logement hôtelier.

La suite du classement place Aix-en-Provence en seconde place avec un coût moyen de 83 euros, talonnée de près par Paris avec 79 euros la nuitée.

Des résultats à relativiser cependant, car le classement ne prend en compte que les hôtels 3 étoiles situés en centre-ville ou proches du centre.

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Une fusion entre danse, exploration et partage

Né en 2021, Isulia dépasse les frontières d'un simple festival : c’est un espace vivant, libre et inclusif, où s’entrelacent création, réflexion et engagement. Témoin des mutations artistiques et sociétales, il s'affirme comme un laboratoire d’idées et une plateforme pour les nouvelles voix de la culture indépendante. Isulia défend une vision fédératrice de la fête, où l'art rencontre le sens, et la musique, les consciences.

isulia-bordeaux©François Blanchard

Pensé dans une logique écoresponsable, l’événement privilégie les circuits courts, les options végétariennes et la réduction des risques, avec la présence d'une brigade de bénévoles et de dispositifs de prévention pour garantir un espace sûr et bienveillant à tous·tes.

Un line-up exigeant, pensé pour surprendre et rassembler

Parmi les artistes attendus, le duo Belaria B2B Soyoon réunit deux figures montantes de la scène électronique. Belaria, résidente du Badaboum et de Rinse France, tisse ses sets entre EBM, Italo Body Music et techno planante, dans une esthétique post-punk affirmée. À ses côtés, Soyoon — originaire de Séoul et révélée par Boiler Room — infuse ses performances d’une énergie rave 90s et d’éclectisme radical, forte de résidences au Macadam et au Mihn Club de Hong Kong.


Autre nom à suivre : Salomée, résidente de l’IBoat, qui mêle électro hypnotique et techno lumineuse, en distillant ses sets exclusivement sur vinyle. Le collectif local Heavydance, fer de lance de la scène bordelaise underground, complète l’affiche avec un live à haute intensité, entre puissance brute et liberté sonore.


Une onde collective hors du temps ancrée sur la scène bordelaise 

Isulia continue de tisser son identité : plurielle, indépendante, inclusive et profondément tournée vers le collectif. Bien connu des Bordelais pour sa programmation libre et vibrante, le festival Isulia avait réuni 6 000 festivaliers et festivalières, 32 artistes et groupes et 45 intervenant·e·s pour ses talks l'an dernier. Aucun doute que le prochain tome ne connaisse autant (sinon plus) de succès. 


La billetterie est en ligne 


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