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Faire pipi dans la mer peut désormais vous coûter 750 €

Publié le 23 juin 2022 à 14h33

Modifié le 23 juin 2022 à 15h20

par Carla Kulczak

Imaginez vous à la plage, il fait beau, tout va bien, quand, soudain, c’est le drame : votre enfant a envie de faire pipi. Alors, oui, on connaît tous la technique de le rassurer et de lui dire d’aller faire pipi dans la mer ni vu ni connu à l’abri des regards. Mais désormais, on vous conseille d’y réfléchir à deux fois pour vos prochaines vacances en Espagne, car cette action pourrait vous coûter très très cher. Pas moins de 750 €, vous voilà prévenus !

Interdiction d'uriner dans la mer à Vigo

Il est désormais strictement interdit d’uriner sur les plages de la municipalité de Vigo, en Galice, dans le nord-ouest du pays, qui a décrété que le fait d'uriner à la plage, y compris dans l’eau, constituait une infraction aux normes sanitaires indiquées dans le premier paragraphe de son ordonnance sur la réglementation des plages. Même si la faute est à moitié avouée, elle ne sera pas pardonnée alors c’est à vos risques et périls. 

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Le centre-ville de Bordeaux sera définitivement interdit aux voitures d'ici 2026

Publié hier à 20h30

par La Rédac'

Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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