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Et les prénoms les plus matchés sur Tinder en 2016 sont…

Publié le 20 décembre 2016 à 00h00

Modifié le 20 décembre 2016 à 18h10

par La Rédac'

Breaking news : les garçons les plus « swipés vers la droite » sur l’appli de rencontre s’appellent Thomas, Nicolas, Maxime ou encore Guillaume. Des prénoms plutôt classiques qui restent malgré tout très populaires en 2016. Les filles qui cartonnent le plus ont des prénoms un tant soit peu plus millénium, qui rappellent nos années collèges. En tête nous avons Alizé, suivi de Chloé, Carla ou encore Cassandre.

Thomas et Alizé font parti des prénoms les plus donnés dans les années 1980 et 1990. C’est donc sans grande surprise qu’ils se retrouvent au top. Il faut croire que la lolita a marqué les esprits... 

Le palmarès français des filles : 

1. Alizé
2. Chloé
3. Carla
4. Margaux
5. Victoria
6. Alexia
7. Cassandre
8. Romane
9. Alix
10. Albane

Des garçons :

1. Thomas
2. Nicolas
3. Maxime
4. Guillaume
5. Romain
6. Alexandre
7. Anthony
8. Adam
9. Lucas
10. Florent 

Avec 45 millions de swipes par jour, la France représente le deuxième plus gros marché Européen. La coquine arrive juste après le Royaume-Uni, où ce sont les Harry qui remportent la palme côté garçons. On ne se demande pas pourquoi, les William(s) auraient sans doute cartonnés le plus il y a quelques années. Côté filles, ce sont les Amelia, Holly et Grace qui sont les plus souvent glissés à droite.

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Isulia signe le grand retour des Open Air printanniers le samedi 19 avril 2025, à La Cité Bleue, dans le quartier de Bacalan. De 16h à 00h, ce format condensé du festival Isulia promet un concentré d’énergies plurielles et de créations engagées, entre concerts, performances artistiques et espaces immersifs. Organisé dans les vestiges industriels d'une ancienne raffinerie réinventée en haut lieu culturel, l’événement s’annonce comme un moment fort de la saison avec plus de 1000 m2 dédiés à la fête. 

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Une fusion entre danse, exploration et partage

Né en 2021, Isulia dépasse les frontières d'un simple festival : c’est un espace vivant, libre et inclusif, où s’entrelacent création, réflexion et engagement. Témoin des mutations artistiques et sociétales, il s'affirme comme un laboratoire d’idées et une plateforme pour les nouvelles voix de la culture indépendante. Isulia défend une vision fédératrice de la fête, où l'art rencontre le sens, et la musique, les consciences.

isulia-bordeaux©François Blanchard

Pensé dans une logique écoresponsable, l’événement privilégie les circuits courts, les options végétariennes et la réduction des risques, avec la présence d'une brigade de bénévoles et de dispositifs de prévention pour garantir un espace sûr et bienveillant à tous·tes.

Un line-up exigeant, pensé pour surprendre et rassembler

Parmi les artistes attendus, le duo Belaria B2B Soyoon réunit deux figures montantes de la scène électronique. Belaria, résidente du Badaboum et de Rinse France, tisse ses sets entre EBM, Italo Body Music et techno planante, dans une esthétique post-punk affirmée. À ses côtés, Soyoon — originaire de Séoul et révélée par Boiler Room — infuse ses performances d’une énergie rave 90s et d’éclectisme radical, forte de résidences au Macadam et au Mihn Club de Hong Kong.


Autre nom à suivre : Salomée, résidente de l’IBoat, qui mêle électro hypnotique et techno lumineuse, en distillant ses sets exclusivement sur vinyle. Le collectif local Heavydance, fer de lance de la scène bordelaise underground, complète l’affiche avec un live à haute intensité, entre puissance brute et liberté sonore.


Une onde collective hors du temps ancrée sur la scène bordelaise 

Isulia continue de tisser son identité : plurielle, indépendante, inclusive et profondément tournée vers le collectif. Bien connu des Bordelais pour sa programmation libre et vibrante, le festival Isulia avait réuni 6 000 festivaliers et festivalières, 32 artistes et groupes et 45 intervenant·e·s pour ses talks l'an dernier. Aucun doute que le prochain tome ne connaisse autant (sinon plus) de succès. 


La billetterie est en ligne 


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