Une étude prédit qui va mourir dans Game of Thrones !

Vous ne vous êtes toujours pas remis de la mort de Ned Stark dans Game of Thrones. Pourtant depuis la saison 1, la série a vu disparaître sans ménagement de nombreux héros...

Game of Thrones n’a jamais été aussi proche de la fin. L’ultime saison doit officiellement débuter le 14 avril 2019, soit huit ans après la diffusion de la saison 1. Et une chose est sûre, en 8 ans, vous en avez vu des morts ! Romane Beaufort, statisticienne et Lucas Melissent, sociologue, ont donc mené une étude scientifique sur la mortalité des personnages de la série.

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Afin de prédire les morts dans Game of Thrones, les deux démographes ont décortiqué les 398 personnages toutes saisons confondues, dont 205 sont décédés… Pour chaque mort, Romane Beaufort et Lucas Melissent ont recensé cinquante caractéristiques, du physique au lieu de naissance en passant par l’âge ou encore les pratiques sexuelles. Résultat ? La mort ne frappe pas au hasard dans la série la plus regardée de tous les temps...

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Ainsi, plus un personnage prend de l’importance plus il a de chances de mourir. Mais sitôt que l’on a dépassé les trente épisodes d’apparition, le héros devient quasiment intouchable. « Pour ne pas tuer les personnages centraux, on sacrifie ceux auxquels on s’attache et qui ont une importance temporaire pour l’intrigue », explique les deux chercheurs à Slate.

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Mais les démographes ont également trouvé certains critères plus surprenants, comme l’aspect physique qui pèse sur le risque de succomber ou le statut social – les seigneurs ont 8 fois plus de risques de décéder que les roturiers. À l’inverse, les personnages avec un handicap ont 3 fois plus de chances de survivre que les autres.

Parmi les personnages principaux encore vivants, c’est Daenerys qui semble avoir le moins de chances de survie avec 16,8% de risques de mourir contre seulement 1,62% pour Jon Snow. Ce qui est certain, c’est qu’il y aura un affrontement sanglant entre glace et feu. Alors, vous avez hâte ?

Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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