Guillaume Canet en avant-première à l'UGC Ciné Cité de Bordeaux ce soir !

Ce mardi 27 août, Guillaume Canet viendra à la rencontre des spectateurs Bordelais à l'UGC Ciné Cité de Bordeaux. L'acteur et le réalisateur du fim "Au nom de la terre" Edouard Bergeon viendront présenter leur film qui traite de l’évolution de l’agriculture ces quarante dernières années. Et surprise, il reste des places ! 

Il faut avouer que c'est assez rare. Guillaume Canet sera présent rue Georges Bonnac ce soir après la diffusion de son film "Au nom de la terre". Et devinez quoi ? Il reste des places disponibles. Une aubaine pour venir partager avec l'un des acteurs favoris des Français accompagné du réalisateur Edouard Bergeon.

Le film qui sortira en salles le 25 septembre est tiré d'une histoire vraie et scénarise la vie du père du journaliste et cinéaste Edouard Bergeon, agriculteur en difficulté dans les années 90. Il évoque le mal-être paysan face à l'engrenage d'une agriculture industrielle.

Un film quasi-documentaire émouvant, une ode à l'amour familial

Une fiction? Pas tant que ça. Le film trouve sa genèse dans le documentaire qu'a réalisé Edouard 7 ans plus tôt Les fils de la Terre. Suivant un agriculteur en difficulté, il évoque son propre drame familiale dans les dernières minutes. Profondément touché par ces témoignages, Guillaume Canet rejoint l'aventure. Pour la promotion du film, le duo arpenteront les UGC Bordelais et régionaux. Au total, pas moins de 6 avant-premières sont prévues aujourd'hui. Andernos, Pessac, Villenave d'Ornon, la Teste-de-Buch ou encore Bordeaux centre pour les plus citadins : les occasions ne manquent pas pour découvrir le film et rencontrer (ENFIN) Guillaume Canet. 

Car si l'acteur est ici chez lui (de par sa résidence secondaire au Cap Ferret), il n'en demeure pas moins que les places disponibles à ses avants-premières fondent comme neige au soleil. Alors faites-vite, car c'est l'occasion rêvée !

"Au nom de la terre"
Mardi 27 août à 20h
UGC Ciné Cité de Bordeaux
13-15 Rue Georges Bonnac, 33000 Bordeaux
Places par ici

Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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