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[EN IMAGES] L'impressionnante éruption d'un volcan en Indonésie

Publié le 20 avril 2024 à 13h00

Modifié le 22 avril 2024 à 11h59

par Clémence Varène

Entré en éruption mardi 16 avril 2024, le volcan Ruang, situé dans le nord de l’Indonésie, a redoublé d’activité dans la nuit de mercredi à jeudi, entraînant ainsi l'évacuation de plus 11 000 personnes. Une catastrophe naturelle dont des photos absolument fascinantes ont fait le tour du monde sur les réseaux ces derniers jours.

Une scène aussi apocalyptique que spectaculaire, aussi effrayante que stupéfiante. Voici ce qu’on peut constater en regardant les quelques photos et vidéos publiées sur les réseaux relatant les éruptions successives qui ont eu lieu depuis le 16 avril en Indonésie. Des images de fin du monde, aux couleurs tout simplement extraordinaires, qui témoignent du caractère extrême de cette nouvelle catastrophe.


Une zone à risque

De violentes éruptions volcaniques, et une menace de tsunami, voilà les 2-3 petits tracas auxquels sont confrontés les milliers d’îles volcaniques d’Indonésie. Et en même temps, il faut dire qu’avec ses 130 volcans encore actifs et sa localisation à la croisée des plaques sismiques, le pays n’a pas été surnommé "la ceinture de feu" du Pacifique pour rien.

Depuis quelques jours, les éléments se déchaînent et la nature reprend ses droits, en mêlant nuages de fumée, orages, coulées de lave ou encore mers agitées. En témoignent des images saisissantes, mais aussi une situation absolument critique, qui a entraîné l’évacuation de plusieurs milliers de personnes, et la fermeture de l’aéroport international de l’archipel, situé à quelques centaines de kilomètres.


Un risque de tsunami important

Et comme si ce n’était pas déjà assez compliqué comme ça, en plus de la lave et des projections de pierres, les autorités craignent également l’arrivée d’un tsunami, et donc de très gros risques pour les personnes résidant en bord de mer. Ce dernier pourrait être déclenché si un trop gros nombre de débris étaient amenés à tomber dans l’eau suite aux éruptions (6 en quelques jours pour le moment).

Une situation qui inquiète, à raison, puisque ce fut déjà le cas dans le pays, en 2018, lorsque le cratère du volcan Anak Krakatoa s’est partiellement effondré après une très importante éruption volcanique. En avait résulté un tsunami massif, qui avait à l’époque provoqué la mort de plus de 400 personnes. Une situation à surveiller de près, donc.

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Le centre-ville de Bordeaux sera définitivement interdit aux voitures d'ici 2026

Publié hier à 20h30

par La Rédac'

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La Zone à Trafic Limité (ZTL) passe en mode répression à Bordeaux. Dès le 1er janvier 2026, les automobilistes et conducteurs de deux-roues motorisés circulant sans motif autorisé s’exposent à une amende. 

Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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