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L'incendie de Notre-Dame-de-Paris adapté en mini-série

Publié le 15 octobre 2019 à 11h53

Modifié le 17 octobre 2019 à 10h15

par Juliette A

La société de production Vendôme a annoncé ce lundi 14 octobre, que l’incendie de Notre-Dame-de-Paris allait faire l’objet d’une série en anglais six mois après, jour pour jour après le sinistre.

C’est dans les colonnes de Variety que les producteurs Pathé et Vendôme ont annoncé développer conjointement une mini-série d’envergure internationale qui reviendra sur l’incendie de Notre-Dame survenu le 15 avril 2019, sur les circonstances du drame, l’avant, le pendant et l’après. Il s’agira plus précisément d’une adaptation de l’article du New York Times sur la catastrophe et les dysfonctionnements de la gestion de la crise. Cette mini série serait actuellement en cours d’écriture et pourrait être diffusée dès 2021.

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Le producteur de "Les femmes du 6e étage" et de "La Famille Bélier" a racheté les droits d’adaptation et collabore avec le quotidien américain sur l’écriture de la série, qui devrait comporter quatre à six épisodes. « On va coller le plus près à la réalité des faits. On suivra l’actualité pendant le développement de la série vu, notamment, qu’on n’a toujours pas déterminé la cause du feu », a souligné le producteur.

Les producteurs ont l’intention de proposer quelque chose dans la veine de la mini-série HBO Chernobyl, qui a connu un franc succès il y a quelques mois. « C'est une inspiration dans la manière dont cet événement dramatique a été exploré, avec des points de vue multiples, des angles différents, et mené par des personnages forts qui ont joué un rôle important dans son déroulement.»

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France 2 va également diffuser un docu-fiction avant la fin de l’année, nommé « l’épreuve des siècles ». Le documentaire racontera sept siècles d’Histoire, du temps des cathédrales à l’incendie, avec des images de synthèse pour la partie fiction, et bénéficiera de la voix de Sophie Marceau en tant que narratrice.

 

    

 

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Le centre-ville de Bordeaux sera définitivement interdit aux voitures d'ici 2026

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Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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