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Job de rêve : gagner jusqu’à 71 000 euros pour détester la coriandre

Publié le 12 mars 2020 à 14h13

Modifié le 13 mars 2020 à 11h12

par Carla Thorel

Team coriandre ou anti cette fois-ci, la science a tranché. L’époque où vous autres mangeurs de coriandre méprisiez ceux qui la détestent est révolue puisque ces derniers seraient grâce à leur haine viscérale, de biens meilleurs goûteurs de produit... Et c’est la chimie qui l’a dit.

Un don de "super-goûteur"

Alors qu’on apprenait il y a quelques années que la haine envers la coriandre était en fait génétique, on apprend désormais que la population touchée possèderait un pouvoir bien particulier. Si en posant une petite feuille de coriandre sur votre langue vous avez l’impression de manger du savon, vous êtes sûrement concernés par ce qui suit. FoodBeast explique que dotés de meilleurs récepteurs olfactifs et gustatifs, les super-goûteurs sont plus susceptibles de discerner les moindres différences entre les produits, notamment lorsqu’il s’agit d’aliments amers tels que le café ou le chocolat.

Un métier qui rapporte jusqu’à 71 000 euros par an

Oui, votre don génétique peut rapporter gros. Ceux qui possèdent un goût et une odeur accrus peuvent être embauchés en tant que goûteurs/testeurs dans l’industrie alimentaire. Leur mission ? Détecter les différences entre les produits de lots, eniron 8h par jour.

Selon le site d'offres d’emplois SimplyHired, "goûteur de café" rapporte en moyenne 80 000 $ par an et pour le vin aux alentours de 70 000 $. Franchement, détester la coriandre et être de ce fait payé pour goûter du vin, chocolat, café, ou crème-glacée… Y’a pire, non ?

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Le centre-ville de Bordeaux sera définitivement interdit aux voitures d'ici 2026

Publié hier à 20h30

par La Rédac'

Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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