Le 13 décembre proclamé journée mondiale de la raclette

Jours qui raccourcissent, températures qui chutent, feuilles qui tombent et terrasses qui se ferment. La fin de l’été (et donc l’arrivée progressive de l’hiver) est souvent synonyme de déprime. Mais dans cet océan de malheur, une lueur dorée vient éclaircir le tableau : la raclette. Plat d’hiver par excellence, la raclette dispose d’un pouvoir aussi mystérieux qu’inévitable : celui de nous redonner le sourire aussi vite qu’il nous remplit la panse. C’est quasiment scientifique.

Pendant que certains (comme nous) érigent ce plat au rang de 8e merveille du monde, les équipes de Topito et de RichesMonts (spécialiste des fromages à pattes molles) ont décidé d’unir leurs forces pour créer la première Journée mondiale de la raclette : le 13 décembre. Une journée bénie des dieux qui sera une raison supplémentaire de se goinfrer allègrement de fromage fondu, de charcuterie et de pommes de terre ultra-light.

Une annonce qui a évidemment émoustillé le monde entier. Alors pour vous faire marrer après avoir embelli vos vies, voici un florilège des images les plus poilantes pour décrire notre amour de la raclette.

D'ailleurs, voici un petit florilège des recettes les plus fondantes et originales de raclette. Say cheeeese ! 

Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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