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Bluffant : Un étudiant reconstitue la ville de Bordeaux sur Minecraft

Publié le 19 octobre 2020 à 10h15

Modifié le 29 avril 2021 à 09h47

par La Rédac'

"He did it !" Thomas, un jeune bordelais de 20 ans, que vous connaissez peut-être sous le pseudonyme Xylocraft, se charge de reproduire la ville de Bordeaux et chacun de ses monuments iconiques dans le célèbre jeu vidéo Minecraft. L'information nous vient de France 3 Aquitaine. Le jeune homme s'emploie à cette reproduction depuis le mois de juin 2017.

Quelques années plus tard, le projet a bien avancé. Le jeune homme paysagiste a déjà reproduit la Place de la Bourse, la Place Pey-Berland, la Cathédrale Saint-André et s'est aussi attelé aux quais ainsi qu'à certaines des habitations de la belle-endormie.

20 heures de labeur par semaine 

Selon France 3 Aquitaine, le jeune maître avoue consacrer près de 20 heures par semaine sur le jeu vidéo planétaire pour achever les chantiers qu'il a entrepris.

Il s'agit d'un travail particulièrement précis et délicat. Pour se faire, Lucas s'est entouré de 5 autres passionnés de reproduction. C'est à partir de photos, de visions satellites, de vues réelles et de plans que les jeunes virtuoses s'emploient à reproduire Bordeaux virtuellement. 

Patience et minutie sont les deux maîtres-mots de ce passe-temps ambitieux. Par exemple, pour reproduire la Cathédrale Saint-André, Lucas y a passé un mois. Il est possible de suivre l'avancée des travaux et de ses réalisations via sa page Youtube. Chapô l'artiste ! 

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Une fusion entre danse, exploration et partage

Né en 2021, Isulia dépasse les frontières d'un simple festival : c’est un espace vivant, libre et inclusif, où s’entrelacent création, réflexion et engagement. Témoin des mutations artistiques et sociétales, il s'affirme comme un laboratoire d’idées et une plateforme pour les nouvelles voix de la culture indépendante. Isulia défend une vision fédératrice de la fête, où l'art rencontre le sens, et la musique, les consciences.

isulia-bordeaux©François Blanchard

Pensé dans une logique écoresponsable, l’événement privilégie les circuits courts, les options végétariennes et la réduction des risques, avec la présence d'une brigade de bénévoles et de dispositifs de prévention pour garantir un espace sûr et bienveillant à tous·tes.

Un line-up exigeant, pensé pour surprendre et rassembler

Parmi les artistes attendus, le duo Belaria B2B Soyoon réunit deux figures montantes de la scène électronique. Belaria, résidente du Badaboum et de Rinse France, tisse ses sets entre EBM, Italo Body Music et techno planante, dans une esthétique post-punk affirmée. À ses côtés, Soyoon — originaire de Séoul et révélée par Boiler Room — infuse ses performances d’une énergie rave 90s et d’éclectisme radical, forte de résidences au Macadam et au Mihn Club de Hong Kong.


Autre nom à suivre : Salomée, résidente de l’IBoat, qui mêle électro hypnotique et techno lumineuse, en distillant ses sets exclusivement sur vinyle. Le collectif local Heavydance, fer de lance de la scène bordelaise underground, complète l’affiche avec un live à haute intensité, entre puissance brute et liberté sonore.


Une onde collective hors du temps ancrée sur la scène bordelaise 

Isulia continue de tisser son identité : plurielle, indépendante, inclusive et profondément tournée vers le collectif. Bien connu des Bordelais pour sa programmation libre et vibrante, le festival Isulia avait réuni 6 000 festivaliers et festivalières, 32 artistes et groupes et 45 intervenant·e·s pour ses talks l'an dernier. Aucun doute que le prochain tome ne connaisse autant (sinon plus) de succès. 


La billetterie est en ligne 


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