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Love Map : une carte répertorie les histoires d’amour et de sexe dans les rues de New York

Publié le 23 octobre 2017 à 11h23

Modifié le 23 octobre 2017 à 19h19

par La Rédac'

Les histoires d’amour courent les rues, c’est bien connu. Le New York Mag a décidé de mettre celles des New-Yorkais en lumière en répertoriant leurs anecdotes amoureuses sur une carte interactive de la ville. Au total, ce sont 482 histoires de premiers baisers, de coups d’un soir, de ruptures que l'on retrouve au fil des bars, des bancs publics, des hôtels et des ruelles désertées. Un projet à croquer. 


La ville a beau avoir évolué, certains endroits ont beau avoir disparu, les noms des bars ont peut être changé, mais la pavé est toujours là, évoquant les souvenirs d'amours passées. La "NY Love Map" répertorie 482 anecdotes croustillantes classées par catégories : "coup d'un soir", "trouver l'âme sœur" ou encore "sexe en public", et par décennies (remontant jusqu'aux années 50). 

« Lorsque j'avais une vingtaine d'années, j'étais pauvre comme Job, je vivais avec ma petite copine et j'ai eu une histoire extra-conjugale d'un an avec une femme où nous faisions uniquement l'amour dans une 1970's Chevy Suburban Wagon, notre "love motel" que l'on garait au coin de la Washington St. et Leroy St. Un endroit toujours désert », peut-on lire en cliquant sur le 148 LEROY STREET

A la station de métro 72ND STREET en 2008, c'est une histoire d'amour que l'on découvre : « Un premier baiser extraordinaire avec la femme que j'épouserai quatre ans plus tard, après avoir vu un film bof bof de Gus Van Sant au Lincoln Square Cinema et être allés dans un bar niais remplis de pétales de rose »

A la Pennsylvania station en 1999, c'est une anecdote de rabibochage qui nous est contée :  « T'es venu me voir, la première fois que l'on se revoyait 5 ans après notre rupture. Des larmes de joie coulaient sur tes joues pendant une heure, créées par l'émotion d'être avec moi à nouveau. »

Une foule d'histoires qui vont revivre les rues de cette ville enchantée ! 

 Love-map©NY Mag

 
Pour plus d'anecdotes et voir la carte en entier, c'est par ici

 

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Pensé dans une logique écoresponsable, l’événement privilégie les circuits courts, les options végétariennes et la réduction des risques, avec la présence d'une brigade de bénévoles et de dispositifs de prévention pour garantir un espace sûr et bienveillant à tous·tes.

Un line-up exigeant, pensé pour surprendre et rassembler

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Autre nom à suivre : Salomée, résidente de l’IBoat, qui mêle électro hypnotique et techno lumineuse, en distillant ses sets exclusivement sur vinyle. Le collectif local Heavydance, fer de lance de la scène bordelaise underground, complète l’affiche avec un live à haute intensité, entre puissance brute et liberté sonore.


Une onde collective hors du temps ancrée sur la scène bordelaise 

Isulia continue de tisser son identité : plurielle, indépendante, inclusive et profondément tournée vers le collectif. Bien connu des Bordelais pour sa programmation libre et vibrante, le festival Isulia avait réuni 6 000 festivaliers et festivalières, 32 artistes et groupes et 45 intervenant·e·s pour ses talks l'an dernier. Aucun doute que le prochain tome ne connaisse autant (sinon plus) de succès. 


La billetterie est en ligne 


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