Bordeaux s’envole vers la Sérénissime. À partir du 2 décembre 2025, la compagnie Wizz Air inaugurera un vol entre Bordeaux et Venise, pour une échappée directe vers la cité des canaux, des gondoles et de l’amour éternel. C’est une nouvelle étape dans le développement du trafic aérien bordelais : la compagnie à bas coûts hongroise étoffe son offre avec trois nouvelles liaisons européennes, reliant la capitale girondine à Venise, Rome et Bucarest.
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Venise, la promesse d’une parenthèse enchantée
La liaison Bordeaux–Venise sera opérée trois fois par semaine dès le 2 décembre 2025, à destination de l’aéroport Marco Polo. Ville mythique posée sur l’eau et classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, Venise fascine par ses ruelles étroites, ses ponts élégants et sa lumière unique. De la basilique Saint-Marc au pont du Rialto, en passant par les gondoles glissant sur le Grand Canal, chaque coin de la cité semble taillé pour la romance. Régulièrement en première place des villes les plus romantiques du monde, elle est courtisée pour les séjours en amoureux.
Deux autres escapades européennes : Rome et Bucarest
Avant Venise, Wizz Air reliera dès cet automne Bordeaux à deux autres capitales majeures. La liaison vers Rome-Fiumicino, déjà inaugurée, propose trois vols hebdomadaires. La Ville éternelle déploie ses trésors antiques — du Colisée au Panthéon — dans une atmosphère où le temps semble suspendu. Puis, à compter du 29 octobre 2025, la compagnie lancera un vol Bordeaux–Bucarest, avec deux rotations par semaine. Surnommée « le Petit Paris », la capitale roumaine mêle élégance historique, vie culturelle foisonnante et modernité vibrante.
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Un engagement durable et un trafic en plein essor
Depuis son arrivée en France en 2004, Wizz Air a transporté plus de 22 millions de passagers et poursuit son expansion en proposant des liaisons à prix abordables tout en misant sur une flotte parmi les plus jeunes d’Europe — composée à plus de 70% d’Airbus A321neo. La compagnie affiche un objectif ambitieux : réduire de 25% ses émissions de CO₂ d’ici 2030, en intégrant notamment 10% de carburant d’aviation durable.