Bientôt une pénurie de bière, frites et chocolat !

Outre les catastrophes naturelles qui nous guettent, telles que les canicules, inondations ou tsunamis, c’est notre assiette qui est en danger ! Comment ?

Pour commencer, le chocolat. Les cacaoyers ont besoin de beaucoup d’eau pour pousser. Avec une augmentation de la température moyenne de plus de 2°C, l’évapotranspiration serait fatale pour ces arbres. Et pas de cacaoyers, pas de chocolat ! D’après le Business Insider, le groupe Mars a déjà lancé un projet de modification génétique afin d’adapter les graines de cacao à un climat plus sec.

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Et les frites alors ? Idem ! Le manque d’eau serait terrible pour la pousse des pommes de terre. Elles deviennent alors plus petites et surtout moins savoureuses. Les frites et autres chips en subissent directement les conséquences... Résultat : le prix au kilo explose ! La frite va devenir le nouveau caviar.

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La bière, quant à elle, est victime de la chaleur. Les champs devenus complètement secs, la culture de l’orge (principal ingrédient de la bière) est désormais très compliquée. Une grosse perte est à prévoir, suivi d’une augmentation des prix.

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On dirait qu’il est grand temps de lutter sérieusement contre le réchauffement climatique…

Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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