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Homard vs kebab : quel est le plat préféré des Français ?

Publié le 17 juillet 2019 à 18h15

Modifié le 20 juillet 2019 à 09h40

par La Rédac'

Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement, s'exprimait il y a peu sur le kebab et sa popularité. L'occasion de se demander quels sont les plats vedettes du côté de chez nous…


Son intervention sur le kebab n’est pas passée inaperçue… En effet, les propos de la porte-parole du gouvernement ont permis de réellement nous pencher sur la question : quelle est le plat préféré des Français ?

L’option du kebab semble bel et bien être assez plausible. Il est accessible pour tous, peu coûteux et remplit bien. Alors, why not? Seulement, la véritable réponse à cette interrogation éradique cette possibilité. En soi, nous avons toujours affaire à du pain garni, mais le lauréat ne nous vient pas d’Allemagne.

La grande queen des repas a été recherchée par le média CNews qui s’est tourné vers le cabiner Gira Conseil, spécialiste du marché de la consommation alimentaire hors domicile. Son directeur Bernard Boutboul, accorde à Madame Ndiaye que « les Français mangent plus de kebabs que de homard »… Logique.

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Toutefois, ce sont les sandwichs jambon-beurre qui occupent le trône. Ils partagent la couronne avec les hamburgers. Eh oui, le pain garni – baguette, rond, ou kebab – fait vendre… 2,4 milliards de pièces de sandwich sont vendues, et il est question de 1,4 pour les burgers. En sachant que « 70 à 75 % sont aujourd’hui vendus en service à table » : parce qu’un bon burger-frites met toujours d’accord !

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Bien sûr, les pizzas prennent place sur le podium avec 1 milliard de pièces. S’en suivent les kebabs donc (360 millions) et les bagels (300 millions).

En gros, les Français sont de francs gourmands… Et tant mieux ! continuons à vivre d’amour et de bouffe plus ou moins grasse. Yolo !

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Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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