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30 phrases de Parisiens insupportables en province

Publié le 12 février 2021 à 15h18

Modifié le 17 juin 2024 à 09h51

par La Rédac'

1. Il appelle les Français qui ne sont pas de Paris des « provinciaux »

2. Il s'étonne qu'il existe la fibre optique aussi en province

3. Il te demande si tu connais les super mixtapes de Bon Entendeur 

4. En excuse il te sort « Désolé j'étais en call avec mon N+1, on a fait un brainsto sur l'AO du new prospect, du coup je suis charette j'ai prez demain »

5. Ou encore « J'suis passé chez le caviste j'ai trouvé un petit vin nat', vraiment pas mal, au moins avec ça, t'as pas mal au crâne, c'est sans sulfites »

6. Il dit des choses comme : « Aaaah ça me manquerait presque » quand il retourne dans sa ville natale (car le vrai Parisien vient de province)

7. Il s'extasie sur tout et trouve tout «  pittoresque »

8. Grosse inspiration, grosse expiration suivis de « c’est tellement agréable »

9. Il fait ses courses avec un panier en osier

10. Il traverse sur le passage piéton

11. Il s'étonne du prix du café à moins de 4 euros

12. Il prend en photo tous les panneaux de villes et villages dont il trouve le nom « original »

13. Il fait des stories de champs vides et inintéressants avec un caption « se ressourcer »

14. Il a pas le permis, du coup il est sur le siège passager

15. Et du coup il te sort des choses du style : « Mais vraiment pratique ce tramway, faudrait en mettre à Paris... oh wait »

16. L'été dans le sud, il dit des choses comme : « C'est une horreur ces cigales, on s'entend plus parler »

17. Il ne dit pas bonjour quand il rentre dans un magasin

18. Il est étonné de voir des serveurs sympas

19. Il te sort des phrases du style « On devrait plus s'inspirer de la campagne à Paris » ou « Eux ils ont compris ce que c'est vivre »

20. À chaque fois qu'il va en province, il dit « qu'est ce qu'on fout à Paris sérieux » depuis à peu près 10 ans mais n'arrive pas à partir

21. Il dit qu'il vient de Paris, pas de la France (à l'étranger) 

22. Il va au resto à 21h30 mais c'est fermé 

23. Il parle fort, jette ses détritus partout et snob tout le monde sur son passage 

24. Quand un événement cocasse se produit il sort : « Ah c'est sûr que nous on voit pas ça tous les jours ! »

25. Et des choses comme : « C'est fou comme les fruits ont le bon goût de fruit ici. T'as pas ça à Paris, hein ! » ou « Tu vois ça c'est de la vraie tomate ! »

26. Il refuse de faire la queue : « Ça fait 10 min qu’on attend, ils ont cru qu’on avait que ça à foutre ? »

27. Il redoute le retour à Paris car ça va être « hardcore »

28. Il prend une story de TOUT ce qu'il croise de pas parisien 

29. Il dit des choses comme « je crois que je vais vivre à la campagne, genre Bordeaux »

30. Ou des choses comme « Mais genre tu habites là toute l’année ? », suivi de « Mais t'imagines ! T'es en vacances toute l'année en fait ! »

BONUS : c'est le premier à dire « Et voilà, encore un endroit gâché par les Parisiens... »

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Le centre-ville de Bordeaux sera définitivement interdit aux voitures d'ici 2026

Publié hier à 20h30

par La Rédac'

Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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