On a trouvé un bar d'été sauvage caché sous les pins au Pyla 

Ce petit coin de paradis est né à La Teste-de-Buch en 2019. Il s'appelle La Sauvagerie, et s'est très vite imposé comme le hot-spot healthy de l'été. Pour siroter un cocktail en sortie de plage, pour partager une planche de tapas au beau milieu de la forêt, pour s'offrir une petite session yoga ou un cours de céramique, la Sauvagerie aura raison de vous.

©La Sauvagerie

Un écrin de verdure adaptée a toute la famille

Pour des réveils tout en douceur, des séances de vinyasa, pilates ou encore chill yoga, une détox du corps et du mental enrichie par l’énergie de la forêt. Mais après l'effort, le réconfort. Alors pour se restaurer, toujours dans une démarche responsable et healthy, on profite d'une carte 100% locale et organique. Régulièrement, des animations/ateliers pour les « sauvageons » : découverte de la biodiversité, land art, éveil corporel, occuperont vos chérubins le temps de profiter d’un moment de détente.

©La Sauvagerie

Et puisqu'une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, on apprend que l'adresse juchée entre les pins, à la lueur des bougies et au milieu du chant des grillons peut se targuer d'être écoresponsable. En cause ? L'autocréation de sa propre micro-station d’épuration low-tech permettant ainsi de traiter les eaux usées sur place. Ici, rien ne se perd : tout se recycle ! En témoigne le mobilier 100% recyclé ou fabriqué à la main.

©La Sauvagerie

A noter que les férus de Molkky, de skate ou autres jeux de société pourront également s'essayer à la discipline grâce au matériel qui leur est mis à disposition. Aussi, les skaters profitent du cadre pour des petites sessions skate endiablées sur la mini rampe et les créateurs exposent leurs pépites lors des marchés "night market". Sans oublier les soirées musicales avec Dj sets ou concerts. Une programmation magique dans un petit écrin de douceur sauvage (voici un oxymore intéressant) à tester de toute urgence.

©La Sauvagerie

La Sauvagerie
2 rue Louis Lignon, La Teste-de-Buch
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Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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