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Voici les numéros les plus fréquemment tirés à l’EuroMillions

Publié le 20 août 2024 à 18h00

Modifié le 21 août 2024 à 15h13

par Raphaël Fenouillard

Il vous arrive de jouer de temps à autres à l’EuroMillions, ou vous seriez peut-être curieux·se d’essayer sans trop savoir comment vous y prendre ? Figurez-vous qu’à l’approche du tirage du mardi 20 août qui permettra de remporter 70 millions d’euros et de la journée internationale de la loterie du 27 août prochain, CasinoScout.nl a analysé les différentes tendances de la loterie sur une période de 20 ans, de 2004 à 2024. L'objectif a été de repérer les numéros le plus souvent tirés, tout comme ceux qui le sont le moins. Qui sait, peut-être serez-vous le·la prochain·e chanceux·se ? On vous le souhaite, mais on vous le rappelle, jouer comporte des risques. 


Les nombres impairs sont les plus victorieux

Les résultats sont formels, la boule numéro 23 est celle qui est la plus tirée. Au cours des vingt dernières années, celle-ci a été tirée 202 fois. Elle est rapidement suivie des boules numéro 19 et 44 qui ont toutes les deux été tirées 198 fois. Les boules numéro 21, 50, 44, 17, 10, 36 et 37 composent le reste du top 10 des numéros les plus fréquemment tirés. Les données montrent que la tendance est principalement aux nombres impairs, qui constituent 60% des nombres les plus tirés.


Six nombres se font discrets

À l’inverse, la boule numéro 22 n’a pas la cote. Tirée seulement 141 fois sur les vingt dernières années, elle est celle qui est apparue le moins de fois. D’autres numéros sont peu réguliers : c’est notamment le cas du 5 qui n’a pas été tiré depuis le 30 janvier 2024, le 21 qui a été tiré pour la dernière fois le 6 février, le 38 qui a fait son apparition le 12 mars, le 1 aperçu le 2 avril et le 27 qui a été tiré le 9 avril. Vous avez désormais toutes les clés en mains pour devenir l’heureux·se gagnant·e du prochain EuroMillions, bonne chance ! 

Jouer comporte des risques : dépendance, isolement... Appelez le 09-74-75-13-13 (appel non surtaxé)

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Les travaux pour rénover le pont de Pierre vont suspendre les trams cet été à Bordeaux

Publié hier à 17h30

par La Rédac'

À partir du printemps 2025, Bordeaux Métropole lance un chantier de grande envergure entre la place Stalingrad et la porte de Bourgogne, visant à rénover le Pont de Pierre et moderniser le réseau de tramway. Ces travaux auront un impact majeur sur la circulation des trams de juin à août, perturbant les lignes A, C et D pendant trois mois.

Un chantier titanesque dès le printemps 2025 

Le projet comprend deux volets : la rénovation du Pont de Pierre, qui sera inaccessibile pour les trams, bus et taxis, et la modernisation du réseau à la porte de Bourgogne, avec l’installation de nouveaux aiguillages. L’objectif est de renforcer l’infrastructure et d’améliorer la continuité du service de transport public âgé de 20 ans tout en créant deux nouvelles lignes de tram : les liaisons E et F, qui relieront respectivement la gare à l’aéroport et la Rive-Droite à Blanquefort.

Aucun tramway, ni bus, ni taxi vont pouvoir circuler 

« Ce chantier est l’un des plus importants de ces vingt dernières années », souligne la Métropole. Si l'enjeu est crucial pour la préservation du Pont de Pierre, il va provoquer des désagréments pour les usagers, notamment avec la suspension partielle du tramway durant l’été. Un vaste plan de substitution sera mis en place, avec notamment une augmentation des fréquences sur la ligne 16 et un encouragement au recours aux modes de transport doux, comme la marche ou le vélo.

Les travaux sur le Pont de Pierre, d'une durée de 52 mois pour un budget de 50 millions d’euros, visent à consolider la structure vieillissante du pont, jugée proche de sa limite d’élasticité. Parmi les interventions, l’insertion de 160 micropieux dans les fondations du pont devrait renforcer sa stabilité.

Pour une meilleure mobilité à venir

Dans le même temps, le réseau de tramway à la porte de Bourgogne sera modernisé pour améliorer sa fiabilité et sa capacité. Ces améliorations devraient permettre de renforcer le service tout en créant de nouvelles connexions pour les usagers. Ce double chantier, à la fois ambitieux et complexe, façonnera le futur du transport à Bordeaux, mais en attendant, il faudra faire preuve de patience et d’adaptation face aux perturbations à venir.

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