Britney vs Spears sur Netflix, L’histoire du mouvement #FreeBritney sur Brut, La triste histoire de Britney Spears par Seb la frite… Les documentaires dévoilant le parcours de vie tragique de l’icône de la pop qu’est Britney sont nombreux en France. Toutes ces années, depuis le début de sa tutelle en 2008 et jusqu’à sa libération par la justice américaine en 2021, on s’est languit de l’entendre elle, de pouvoir connaître son histoire grâce à ses propres mots, sans déformer ci, hyperboler ça, et surtout, violer son intimité. En octobre, Britney Spears va enfin livrer sa version des faits, dans ses termes, avec son autobiographie « The Woman in me ». You go girl.
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Une « histoire incroyablement émouvante de liberté […] »
L’éditeur de la chanteuse, Simon-Schuster, présente l’ouvrage comme une « histoire incroyablement émouvante de liberté, de gloire, de maternité, de survie, de foi et d’espoir ». Rédigés avec « candeur et humour », les mémoires de l’interprète de Baby one more time témoignent de l’importance « pour les femmes de raconter enfin leurs histoires, dans leurs propres termes ». Une promotion assurée sur les réseaux par la star elle-même, qui tease ses fans avec « Are you ready ? »… L’est-on vraiment ? Pas sûr.
Le traumatisme d’une tutelle abusive longue de 13 années
Après avoir été placée sous la tutelle de son père en 2008, de ses 27 à ses 40 ans, la star a été libérée par la justice américaine après des mois de procédure et de nombreux rebondissements. « Je crois que je vais pleurer pour le reste de la journée !!!! C’est le meilleur jour de ma vie… Que le Seigneur soit loué », réagissait-elle sur Instagram en remerciant ses fans de leur soutien.
Depuis, Britney essaie de remonter la pente, mais affirmait en août 2022 toujours subir les conséquences de ces années à dépendre financièrement, physiquement et psychologiquement de son père, révélant la dureté des restrictions auxquelles elle faisait face, allant de sa contraception à ses commandes de boissons dans un café. Puisse la publication des mémoires de Britney lui donner un espace d’expression suffisant pour l’apaiser.
