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Combien de fois par mois les Français font-ils vraiment l’amour ?

Publié le 22 septembre 2022 à 18h35

Modifié le 13 juillet 2023 à 11h40

par La Rédac'

Vous ne me contredirez pas si je vous dis qu’une relation amoureuse heureuse est aussi une relation sexuelle au beau fixe. Pourtant, une enquête internationale parue le 10 décembre révèle la véritable fréquence mensuelle des rapports sexuels des Français. Et le moins que l’on puisse dire c’est que le résultat est… surprenant.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les Français sont bien trop raisonnables. L’étude Ipsos Perils of Perception révèle que notre perceptions sur la sexualité est faussée, puisque l’on fait beaucoup moins l’amour que ce que l’on pourrait croire… Menée sur près de 28 115 hommes et femmes à travers le monde, l’enquête démontre que les Français âgés de 18 à 29 ans feraient l’amour 5 fois par mois en moyenne. On est donc bien loin des estimations du panel, qui préconisait 21 rapports sexuels par mois selon les femmes (soit 5 jours sur 7) et 23 selon les hommes.

Des surestimations que l’on observe également dans les autres pays, comme en Inde où les Indiennes ne s’adonneraient au coït que 3 fois par mois alors que les estimations étaient de 27 ! Des chiffres en baisse qui s’expliquent notamment par un rythme de vie intense et un travail plus prenant.

Mais pas de panique, moins de sexe ne veut pas dire moins de bonheur. Selon des experts, une fréquence modérée de rapports sexuels n’est pas synonyme de malheur ou d’échec de la relation. Conclusion : faites l'amour quand vous en avez envie, que ce soit une fois par jour, par semaine ou par mois (pas par année, faut pas déconner non plus !).

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Alerte info : Toutes les plages de Gironde deviennent payantes cet été !

Publié aujourd'hui à 17h00

Modifié aujourd'hui à 17h07

par La Rédac'

C'est une annonce qui va faire beaucoup de vagues : toutes les plages de Gironde seront payantes à partir de cet été. Une décision prise par la préfecture de la région et les autorités locales, dans le cadre d'un projet de gestion et de protection des espaces littoraux. Dès le 1er juin 2025, un droit d’accès de 5€ par personne sera appliqué sur toutes les plages, de la Côte d’Argent, au grand Crohot, à la plage de la Lagune, en passant par la célèbre plage d'Arcachon. Une mesure pour préserver l’environnement et améliorer les infrastructures.

5€ le ticket d’entrée pour se baigner

Selon la préfécture, « cette nouvelle politique est avant tout une réponse aux enjeux écologiques et d’aménagement du territoire. La fréquentation massive des plages met à mal notre environnement naturel, et il est de notre devoir d’agir pour préserver nos côtes tout en offrant aux visiteurs une expérience de qualité ». Un système de contrôle sera mis en place pour s’assurer que la fréquentation reste gérable, notamment lors des journées de grande affluence.

Un accès modéré pour responsabiliser les usagers

Les recettes générées par cette initiative seront investies dans des projets de préservation des écosystèmes côtiers, ainsi que dans l’amélioration des infrastructures : toilettes, douches, équipements pour les personnes à mobilité réduite et autres services de confort. 

Les modalités d’accès et les tarifs

Les plages seront désormais équipées de bornes automatiques à chaque entrée. Les vacanciers devront acheter un ticket en ligne ou sur place. Le tarif de base sera de 5€ par personne, tandis que les familles nombreuses et les groupes bénéficieront d’un tarif réduit à 15€ pour 4 personnes. Les enfants de moins de 12 ans seront exemptés de paiement.

Des pass saisonniers seront également proposés à 50€ pour l’été, permettant un accès illimité à toutes les plages de la région. Ces passes seront disponibles en ligne à partir du 15 mai, avec un tarif spécial de lancement à 40€ pour les premiers acheteurs.

Une décision qui fait débat

L’annonce de cette mesure a suscité des réactions partagées. Si certains applaudissent l’initiative écologique, d’autres s’inquiètent de l'impact sur les familles modestes. Claude Martin, représentant de l’association « Sauvons nos Plages », a commenté : "Nous comprenons la nécessité de protéger l’environnement, mais cette mesure pourrait exclure de nombreuses personnes, en particulier celles qui ne peuvent pas se permettre de payer chaque jour pour accéder à la mer."

De leur côté, les professionnels du secteur touristique, bien que surpris par cette annonce tardive, affirment être prêts à s’adapter. "Cela aura un impact sur l’afflux touristique, mais cela pourrait également donner un nouveau souffle aux plages moins fréquentées, et offrir une meilleure qualité de service aux estivants," explique Sophie Leroux, présidente de l’Association des Hôteliers de la côte.

Alors que de nombreuses villes du littoral européen adoptent des politiques similaires, la Gironde semble prendre le pas en matière de gestion durable des plages. L’application de cette mesure dès l'été 2025 marquera un tournant dans la gestion des espaces publics en bord de mer. Mais la question reste : combien de Bordelais et de touristes accepteront de payer pour poser leur serviette sur le sable cet été ?

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