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La recette de la fondue vigneronne, pour tremper sa viande dans du vin rouge

Publié le 19 février 2024 à 17h49

Modifié le 19 février 2024 à 17h50

par Lucille Pasquier

Durant l'hiver, Bordeaux et toutes les terres aussi gourmandes que fraîches sont au coeur d’un véritable dilemme : comment choisir entre la fondue coréenne, la fondue chinoise et la fondue bourguignonne ? Et comme si cette question n'était pas suffisamment complexe, on ajoute une option : la fondue vigneronne !

La fondue vigneronne : le vrai goût du terroir

Comme son nom l'aura indiqué aux plus malins, la fondue vigneronne, c'est comme une fondue bourguignonne, sauf que l'huile est remplacée par du vin rouge, un hommage gustatif au terroir. Imaginez-vous un peu plonger de tendres morceaux de bœuf dans un bouillon parfumé, enrichi des arômes enivrants du vin rouge local. Oui, c'est aussi décadent que ça en a l'air !

La recette de la fondue vigneronne :

Ingrédients :

  • 200 g de boeuf par personne (filet, rumsteak ou faux-filet)
  • 1 bouteille de vin rouge 
  • Bouillon de bœuf
  • Oignons, carottes, poireaux
  • Sel, poivre
  • Assaisonnements (thym, laurier, etc.)

Instructions :

  1. Préparez votre bouillon en faisant mijoter le vin rouge avec les légumes et les assaisonnements pendant environ 30 minutes.
  2. Découpez le bœuf en petits morceaux.
  3. Disposez votre fondue sur la table avec le réchaud allumé.
  4. Plongez les morceaux de bœuf dans le bouillon frémissant et laissez cuire selon votre préférence.
  5. Servez avec des sauces variées et des accompagnements tels que des pommes de terre, des légumes ou des sauces maison.

Le verdict final : quelle fondue remporte le match ?

Alors, entre la fondue vigneronne et la fondue bourguignonne, quel sera votre coup de cœur ? Chaque variante a ses charmes uniques, mais une chose est sûre : les deux promettent une explosion de saveurs et de convivialité à partager entre amis ou en famille.


L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

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Les parents préfèreraient leurs filles à leurs garçons, selon une étude

Publié aujourd'hui à 17h00

Modifié aujourd'hui à 17h03

par Lucie Guerra

Les découvertes dans le domaine de la psychologie continuent de nous surprendre. Récemment, les scientifiques de la Brigham Young University dans l’Utah, se sont penchés sur la question du favoritisme parental. Publiée dans le journal Psychological Bulletin, l’étude révèle notamment que le traitement des parents n’est pas le même selon que leur progéniture soit un garçon ou une fille


Les filles et les enfants consciencieux sont les plus favorisés 

Vous vous êtes déjà demandé·e si vos parents préféraient vos frères ou sœurs à vous ? Figurez-vous que c’est fortement possible. « Cette étude nous aide à comprendre quels enfants sont plus susceptibles d’être les récipiendaires de favoritisme, qu’il soit positif ou négatif », explique Alexander Jensen, professeur à la Brigham Young University. 

Si l’on aurait généralement tendance à penser que les mères favorisent leurs filles et les pères privilégient leurs fils, les résultats de l’étude ont montré que les mères et les pères sont plus enclins à favoriser leurs filles. En plus de cela, les données montrent que les enfants plus consciencieux, responsables et organisés reçoivent un traitement plus favorable. « Depuis des décennies, les chercheurs savent que les différences de traitement de la part des parents peuvent avoir des conséquences durables sur les enfants », précise-t-il. 


Cinq domaines analysés

Pour mener leur étude à bien, les scientifiques se sont appuyés sur l’ordre de naissance, le sexe, le tempérament et les traits de personnalité. Les résultats de 30 études précédentes portant sur 20 000 participant·es ont été passés au peigne fin. 

Cinq domaines ont été mis en lumière : le traitement général de l’enfant, les interactions positives, les interactions négatives, le contrôle et l’allocation des ressources. Les scientifiques ont notamment pu déterminer que le favoritisme pouvait s’exercer sous différentes formes parmi ces thématiques. « Comprendre ces nuances peut aider les parents et les cliniciens à reconnaître les schémas familiaux potentiellement préjudiciables. Il est essentiel de veiller à ce que tous les enfants se sentent aimés et soutenus », affirme Alexander Jensen.


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