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7 conseils pour survivre au tram pendant la canicule à Bordeaux

Publié le 22 juillet 2019 à 08h55

Modifié le 23 juillet 2019 à 09h08

par La Rédac'

Été, enfin, tu es là ! On t'attendait avec impatience, quel bonheur. On va te chérir pendant des mois… Sauf dans le tram, où l'on va te maudir. Alors, pour survivre à des températures caniculaires, ainsi qu’à la moiteur d’un tramway bondé, voici quelques précieux conseils.


Toujours avoir un éventail

L’éventail, c’est petit, ça se plie, et surtout ça fait du vent. Probablement un des objets les plus pratiques, il ne faut jamais le négliger en cas de grosse chaleur. Au fond de ton sac il ne prendra même pas de place, et sera toujours prêt à être dégainé avant de faire un malaise dans le métro… À ne jamais oublier !


Se placer stratégiquement dans la rame

À partir du moment où tu mets un pied dans le wagon, ton seul et unique but est de t’asseoir. Les heures de pointe dans un tram surchauffé, c’est juste l’enfer. Alors déjà, pour avoir un semblant d’air, il vaut mieux se placer dans le petit couloir entre les sièges par quatre. Il y a généralement moins de monde à cet endroit là, et surtout, ça permet de guetter les sièges qui se libèrent. Parce que oui, dans un véhicule plein à craquer par une grosse chaleur, on n'a qu’une envie : s’asseoir.


S’hydrater

Alors là, il s’agit de ne pas faire de malaise et ainsi de ne pas bloquer toute la rame. On ne le dira jamais assez : buvez de l’eau ! Lorsqu’il fait chaud, il ne faut surtout pas oublier cette étape importante, qui permet à la fois de nous rafraîchir, mais aussi et surtout, de rester en vie. Une petite gourde, toujours sur vous !


Ne pas oublier de mettre du déodorant

IN-TER-DIT ! Par respect pour tous les voyageurs, ainsi que vos collègues, vos amis, votre famille, votre animal, ou tout simplement pour vous, ne surtout pas négliger l’étape déo. Peu importe sa forme ou son parfum, c’est un indispensable. Si chacun fait cet effort, le voyage en métro deviendra (presque) vivable.


Investir dans un ventilateur de poche

Ce petit gadget ne paie pas de mine, mais il peut s’avérer très utile. Il existe à piles, mais aussi à brancher à ton smartphone ! Et là, c’est le bonheur. Tu l’actives au moment où tu sens que tu ne peux tout simplement plus respirer, et que des gouttes commencent à couler le long de tes tempes. C'est une véritable libération.


S’attacher les cheveux

Les cheveux longs, c’est sexy. Mais lorsque tu es bloquée dans une rame de métro bondée, ils donnent très très très chaud. Et avoir chaud dans la nuque, c’est vraiment l’horreur. Donc on prévoit le coup, on a toujours un élastique dans la poche pour se faire un beau chignon avant de monter dans le métro.


Privilégier d’autres moyens de transport

Au final, pourquoi s’obstiner à prendre le métro ? Le tram, la trottinette (très tendance) ou même le skateboard sont des moyens de transport tout à fait viables. Ils vous amèneront d’un point A à un point B, tranquillou, et vous profiterez de l’air extérieur. Et en bonus, vous ferez un peu de sport, ni vu ni connu.

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L’arrivée du printemps célébrée à ciel ouvert

Isulia signe le grand retour des Open Air printanniers le samedi 19 avril 2025, à La Cité Bleue, dans le quartier de Bacalan. De 16h à 00h, ce format condensé du festival Isulia promet un concentré d’énergies plurielles et de créations engagées, entre concerts, performances artistiques et espaces immersifs. Organisé dans les vestiges industriels d'une ancienne raffinerie réinventée en haut lieu culturel, l’événement s’annonce comme un moment fort de la saison avec plus de 1000 m2 dédiés à la fête. 

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Une fusion entre danse, exploration et partage

Né en 2021, Isulia dépasse les frontières d'un simple festival : c’est un espace vivant, libre et inclusif, où s’entrelacent création, réflexion et engagement. Témoin des mutations artistiques et sociétales, il s'affirme comme un laboratoire d’idées et une plateforme pour les nouvelles voix de la culture indépendante. Isulia défend une vision fédératrice de la fête, où l'art rencontre le sens, et la musique, les consciences.

isulia-bordeaux©François Blanchard

Pensé dans une logique écoresponsable, l’événement privilégie les circuits courts, les options végétariennes et la réduction des risques, avec la présence d'une brigade de bénévoles et de dispositifs de prévention pour garantir un espace sûr et bienveillant à tous·tes.

Un line-up exigeant, pensé pour surprendre et rassembler

Parmi les artistes attendus, le duo Belaria B2B Soyoon réunit deux figures montantes de la scène électronique. Belaria, résidente du Badaboum et de Rinse France, tisse ses sets entre EBM, Italo Body Music et techno planante, dans une esthétique post-punk affirmée. À ses côtés, Soyoon — originaire de Séoul et révélée par Boiler Room — infuse ses performances d’une énergie rave 90s et d’éclectisme radical, forte de résidences au Macadam et au Mihn Club de Hong Kong.


Autre nom à suivre : Salomée, résidente de l’IBoat, qui mêle électro hypnotique et techno lumineuse, en distillant ses sets exclusivement sur vinyle. Le collectif local Heavydance, fer de lance de la scène bordelaise underground, complète l’affiche avec un live à haute intensité, entre puissance brute et liberté sonore.


Une onde collective hors du temps ancrée sur la scène bordelaise 

Isulia continue de tisser son identité : plurielle, indépendante, inclusive et profondément tournée vers le collectif. Bien connu des Bordelais pour sa programmation libre et vibrante, le festival Isulia avait réuni 6 000 festivaliers et festivalières, 32 artistes et groupes et 45 intervenant·e·s pour ses talks l'an dernier. Aucun doute que le prochain tome ne connaisse autant (sinon plus) de succès. 


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