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À quoi ressemblait le sexe au Moyen Âge ?

Publié le 18 mai 2018 à 18h31

Modifié le 29 août 2019 à 11h47

par La Rédac'

« Sire, vostre verge est digne d'un roy ! »

Voilà comment on imagine les phrases prononcées lors des premiers moments d'intimité à l'époque du Moyen Âge. Ce qui est certain, c'est que les pratiques sous les draps durant cette période devaient être très différentes de celles dont on a l'habitude en 2018. Surtout lorsqu'on constate une certaine évolution vers un sexe 2.0 (voire 3.0).

Mais en vrai, ça se passait comment les ébats au Moyen Âge ? 

Heureusement pour nous, qui sommes curieux, nous vivons une époque formidable. Nous avons pu trouver la réponse sans problème sur Internet, notre meilleur ami pour la vie. Une vidéo du youtubeur Nota Bene nous explique tout ce qu'il y a à savoir sur cette époque qui nous paraît si fascinante (il suffit de regarder la cote d'amour de Game of Thrones pour le constater). 

Et il faut dire qu'on en apprend beaucoup. Faisons un point sur les infos qui nous ont le plus marqués : 


Les prêtres avaient bien une vie sexuelle

Jusqu'au XIe siècle, les hommes d'Église avaient le droit de vivre en couple, et même de se marier. Il va de soi que leurs pratiques sexuelles étaient donc les mêmes que l'ensemble de la population et qu'ils ne se priviaient pas davantage. 

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C'est en 1139 que le mariage est interdit aux prêtres, pas pour empêcher leurs ébats, mais pour assurer que leur héritage revienne bien à l'Église. Habile. 


On encourageait l'orgasme féminin

À l'époque, on pensait que la vie était créée à partir d'un mélange entre le sperme féminin et masculin. Du coup, il fallait absolument encourager l'orgasme de la femme. Des scientifiques auraient même dédié leur vie à rechercher les zones érogènes féminines pour assurer la reproduction. 

La preuve ? Il existe même un ouvrage qui s'appelle le Miroir du foutre, une sorte de Kama-sutra qui explore le monde sexuel à l'époque médiévale.


La femme passait par 5 périodes sexuelles dans sa vie

Jusqu'à ses 8 ans, la gent féminine est considérée comme "sans honte", ce qui est logique car elle ne se rend probablement pas encore compte de ce qu'est la sexualité et ne peut ressentir de gêne par rapport à la nudité, que ce soit la sienne ou celle d'un autre.

Puis jusqu'à ses 20 ans, la femme est considérée comme "timide" : la période de l'adolescence, en somme. Entre la vingtaine et la trentaine, on estime qu'elle est désormais formée et prête (à faire l'amour et surtout à porter des enfants, on imagine). 

Jusqu'à 40 ans, la femme prend réellement plaisir dans ses relations avec les hommes et aime "observer" (on vous laisse interpréter ça comme vous voulez, on n'en est pas certain nous-mêmes). 

Enfin, jusqu'à la fin de ses "menstrues" (ses règles, donc), la femme perd progressivement ses vues et sa "chaleur", ses « chaires se relachent mais restent très utiles à l'homme » (wow, ok). Heureux de le savoir...


On avait la recette parfaite pour un sperme de qualité

C'est très simple : il faut « une verge grande et rigide » et aussi être « ni trop gros, ni trop maigre ». Oui en gros il faut avoir une érection et être en bonne santé quoi. 


On connaissait la position idéale pour faire des enfants

Aloooooors. Vous avez de quoi noter ? C'est parti. Prenez un lit souple, et répartissez les rôles entre homme et femme. Pour le mâle, prenez votre main gauche et placez-la derrière les épaules de votre conjointe, pendant que vous la ramenez vers vous avec votre main droite. Pour la femme, levez bien les jambes et gardez la tête aussi haute que possible.

Et après ? Bah c'est le classique va-et-vient entre les reins hein, on ne vous apprend rien (oui on aime les rimes ici).


Il était déconseillé de copuler plus de 113 jours par an

Bon, c'était pas noté comme ça hein. C'est selon les règles de l'Église que les jours d'interdiction s'accumulent. Les croyants ne pouvaient pas faire l'amour le mercredi ou le vendredi car ces jours-là étaient réservés aux deuils. Le dimanche était réservé à l'église, et du coup on conseillait aussi de s'abstenir le samedi.

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Rajoutez à ça les jours de règles et les trois carêmes de 40 jours et on arrivait à seulement une centaine de jours (113 au grand max.) de copulation par an. Après, est-ce que les gens respectaient forcément toutes ces indications ? À voir... 


Le missionnaire c'est bien, la levrette c'est maaaal

Comme indiqué plus haut, la position "idéale" de l'époque correspondait grosso modo au missionnaire. Et de fait, on encourageait vivement cette pratique en comparaison aux autres comme... la levrette, qu'on appelait aussi la « position du cheval érotique ».

Celle-ci était vraiment prohibée, tout comme la sodomie (y compris avec les doigts). 


Les femmes faisaient des trucs bizarres pour exciter les hommes

Allons droit au fait : il PARAÎT que certaines femmes inséraient un poisson vivant dans leur vagin et le laissaient mourir pour ensuite le cuire et le servir à leur mari. Cela... l'excitait. Il n'y a aucun moyen d'être certain de cette pratique, elle est retrouvée dans des écrits, mais cela pourrait être de la fiction.

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Mais enfin quand même, il fallait y penser. 


La prostitution était préférée à la masturbation 

Comme quoi, tout est une question de culture. Au Moyen Âge, la masturbation avait aussi mauvaise réputation que la prostitution de nos jours. Et à l'époque, si l'envie vous prenait de vous soulager rapidement, il était préférable d'aller se payer une prostituée que de se servir de sa propre main.

Vous vous rendez compte ? Se faire plaisir tout seul ? Quelle horreur. 

Voilà donc ce qu'on a retenu des pratiques sexuelles durant la période médiévale. Lorsque ma machine à remonter le temps sera finie, je pourrai enfin aller voir ça de mes propres yeux. Enfin quoique... pas certain d'en avoir envie. 

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