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L'impact de la canicule sur notre sommeil et libido

Publié le 25 juin 2019 à 12h19

Modifié le 25 juin 2019 à 17h03

par La Rédac'

Le soleil brille, les températures montent… L’été est enfin là ! Ça y est, feu vert pour les soirées sur les quais et pique-nique au parc. Mais malheureusement, il y a aussi des inconvénients très désagréables.

Alerte canicule à Paris ! Et il faut dire que c’est bien plus sérieux qu’on ne pourrait le croire. Une étude révèle que 62% des français souffrent de la chaleur, et que cela impacte la qualité de sommeil de plus d’1 Français sur 7. Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg... Oui, la canicule a un impact négatif sur de nombreux aspects de notre quotidien. Et non, ça ne fait pas plaisir.

D’abord, elle intervient dans la vie du couple. 47 % des Français évoquent avoir des troubles de la libido directement liés à la canicule. Et les femmes sont les plus impactées puisque 56 % d’entre elles sont gênées par la proximité de leur conjoint au lit, contre seulement 36 % des hommes. Clairement, cette semaine ne sera pas propice à la procréation.

Et au boulot alors ? Voilà qui ne va pas faire plaisir à votre patron, mais presque 7 Français sur 10 connaissent une baisse de productivité durant une période de grosse chaleur.

Le sommeil, la sexualité et la productivité au travail sont directement influencées par la période caniculaire que nous traversons. Mais c’est la vie quotidienne dans son ensemble qui est touchée. La vie de famille, l’activité physique, la beauté des cheveux et de la peau, la vie sociale… On a tous tendance à accorder beaucoup moins de temps à ces choses lorsque l’on souffre de la chaleur.

Ce qu’il faudrait, c’est commencer par avoir une meilleure qualité de sommeil. Il existe des petites astuces simples, comme aérer notre logement la nuit, laisser les volets ou rideaux fermés en journée, ou étendre des linges humides dans la pièce.

Allez, bon courage à tous, Noël arrive dans six mois.

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Le centre-ville de Bordeaux sera définitivement interdit aux voitures d'ici 2026

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Une annonce retentissante vient de secouer Bordeaux : le centre-ville sera totalement interdit aux voitures au 1er janvier 2026. Ce projet ambitieux, porté par la mairie, a pour objectif de transformer radicalement la circulation dans la ville, en mettant un terme définitif à l’ère des véhicules motorisés au cœur historique de la capitale de la Gironde.

La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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