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Comment ne pas foirer sa soirée du Nouvel An ?

Publié le 17 décembre 2020 à 11h55

Modifié le 22 décembre 2020 à 11h55

par La Rédac'

S'il y a bien une soirée relou dans l'année, c'est sans aucun conteste celle du 31. Trop de potes ou pas assez, des dizaines de plans mais pas un de vraiment cool, on se met une telle pression pour passer une bonne soirée qu'on finit par se demander si avaler une bouteille de javel ne serait pas une meilleure idée que de faire la teuf ce jour-là. A tel point qu'on s'est demandé s'il était possible de réussir un Nouvel An. Voici les principes de base pour passer un Nouvel An dont on aura envie de se souvenir (pour une fois).

Bon, vous me direz que j'exagère un peu et vous n'aurez pas totalement tort. On passe souvent un très bon réveillon en sortant du pays ou en ayant réussi à centraliser tout le monde dans une même soirée (ce qui implique de s'y prendre l'année d'avant, et encore). Mais cette année, c'est compliqué.


On se sape/déguise (et on ne fait pas semblant)

Que vous vous fichiez éperdument de la mode ou de la teuf, ou des deux (ce qui nous étonnerait forcément un peu), ne pas se saper le 31 c'est comme arriver saoul devant un videur : une soirée perdue d'avance. 


Un bon réveillon n'a jamais tué personne

Oui, on sait, tout ce que vous voulez, c'est boire. Sauf que si vous ne voulez pas faire le décompte en tête-à-tête avec la cuvette, vous feriez mieux d'avaler quelque chose. Si vous ne mangez rien en pensant sauver vos calories pour l'alcool, lisez cet article et mettez-vous dans la tête que prendre un kilo n'a jamais tué personne.

D'ailleurs, qu'est-ce qu'on mange ? Ça dépend de vous, en fait. Mais mangez, c'est tout.


Les potes, c'est bien, les potes de potes, encore mieux

Si te farcir la discussion de Jean-Michel (dont le prenom a visiblement été modifié) ne t'excite pas au plus haut point en règle générale, il est coutume en France de se forcer un peu la main pour être bien entouré au moment de célébrer la nouvelle année. Pour une soirée, sociabiliser un peu ne va franchement pas te tuer et c'est aussi le genre d'occasion propice aux rencontres (clin d'œil).


Concernant les courses, c'est chacun pour soi et Dieu pour tous

Car oui, que ça concerne ta tise ou ce que tu te mettras sous la dent, sache que la plupart des gens feront la même chose que toi, se rendront aux mêmes endroits que toi pour acheter les mêmes victuailles que toi. CQFD, les magasins seront pris d'assaut et la seule loi qui prévaudra sera celle du plus fort. Une légende dit que certains achètent un peu plus de nourriture ou d'alcool pour pouvoir les troquer après en fin de soirée, mais rien n'a jamais été prouvé...


Bon, au fond, vous savez aussi bien que moi que le Nouvel An est une soirée de merde. Sur ce, je ne vous ferai pas le plaisir de vous dire "à l'année prochaine". 

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Né en 2021, Isulia dépasse les frontières d'un simple festival : c’est un espace vivant, libre et inclusif, où s’entrelacent création, réflexion et engagement. Témoin des mutations artistiques et sociétales, il s'affirme comme un laboratoire d’idées et une plateforme pour les nouvelles voix de la culture indépendante. Isulia défend une vision fédératrice de la fête, où l'art rencontre le sens, et la musique, les consciences.

isulia-bordeaux©François Blanchard

Pensé dans une logique écoresponsable, l’événement privilégie les circuits courts, les options végétariennes et la réduction des risques, avec la présence d'une brigade de bénévoles et de dispositifs de prévention pour garantir un espace sûr et bienveillant à tous·tes.

Un line-up exigeant, pensé pour surprendre et rassembler

Parmi les artistes attendus, le duo Belaria B2B Soyoon réunit deux figures montantes de la scène électronique. Belaria, résidente du Badaboum et de Rinse France, tisse ses sets entre EBM, Italo Body Music et techno planante, dans une esthétique post-punk affirmée. À ses côtés, Soyoon — originaire de Séoul et révélée par Boiler Room — infuse ses performances d’une énergie rave 90s et d’éclectisme radical, forte de résidences au Macadam et au Mihn Club de Hong Kong.


Autre nom à suivre : Salomée, résidente de l’IBoat, qui mêle électro hypnotique et techno lumineuse, en distillant ses sets exclusivement sur vinyle. Le collectif local Heavydance, fer de lance de la scène bordelaise underground, complète l’affiche avec un live à haute intensité, entre puissance brute et liberté sonore.


Une onde collective hors du temps ancrée sur la scène bordelaise 

Isulia continue de tisser son identité : plurielle, indépendante, inclusive et profondément tournée vers le collectif. Bien connu des Bordelais pour sa programmation libre et vibrante, le festival Isulia avait réuni 6 000 festivaliers et festivalières, 32 artistes et groupes et 45 intervenant·e·s pour ses talks l'an dernier. Aucun doute que le prochain tome ne connaisse autant (sinon plus) de succès. 


La billetterie est en ligne 


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