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Voici l'ennemi public numéro 1 des couples

Publié le 5 octobre 2017 à 15h07

Modifié le 18 novembre 2019 à 19h18

par La Rédac'

Ça fait 3 heures que ton âme soeur est en train de taper frénétiquement sur son clavier. Avec un air visiblement très intéressé. Tu ne feras bien sûr aucune remarque car tu es évidemment au-dessus de ça, mais tu iras quand même checker son historique une fois qu’il ou elle aura le dos tourné. Et rassure-toi, tu n’es pas le seul. 

Selon une étude récente menée par Anik Ferron, sexologue et doctorante en psychologie à l’UQTR (au Québec), 40% des gens interrogés surveillent le compte de leur moitié, jaloux à l’idée qu’ils puissent discuter avec des personnes de sexe opposé.

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Et ils n’ont pas tout à fait tort puisque selon cette même étude, 30% des gens profitent d’Internet pour exercer leur pouvoir de séduction sur un partenaire autre que le leur. Pourquoi ? Tout simplement parce que les réseaux sociaux permettent d’avoir très facilement une conversation avec quelqu’un que vous n’avez pas vu depuis longtemps. Ton crush de 3e qui s’est marié et vient de divorcer ? Bim, ajouté comme ami, et la discussion est lancée.

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De la même façon, en nous permettant d’observer à loisir la vie des autres, les réseaux sociaux permettent de combler un sentiment de solitude de plus en plus prégnant dans la société actuelle. Ils jouent donc d’autant plus le rôle de « substitut » quand ton couple commence à battre de l’aile. Tracey Cox, une experte britannique en relations humaines, a même qualifié cette recherche de séduction via les réseaux sociaux d’ « infidélité émotionnelle ». Alors, à quand la digital detox en couple ?

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Un Open Air de 8H va avoir lieu dans une ancienne raffinerie en plein Bordeaux

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par La Rédac'

L’arrivée du printemps célébrée à ciel ouvert

Isulia signe le grand retour des Open Air printanniers le samedi 19 avril 2025, à La Cité Bleue, dans le quartier de Bacalan. De 16h à 00h, ce format condensé du festival Isulia promet un concentré d’énergies plurielles et de créations engagées, entre concerts, performances artistiques et espaces immersifs. Organisé dans les vestiges industriels d'une ancienne raffinerie réinventée en haut lieu culturel, l’événement s’annonce comme un moment fort de la saison avec plus de 1000 m2 dédiés à la fête. 

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Une fusion entre danse, exploration et partage

Né en 2021, Isulia dépasse les frontières d'un simple festival : c’est un espace vivant, libre et inclusif, où s’entrelacent création, réflexion et engagement. Témoin des mutations artistiques et sociétales, il s'affirme comme un laboratoire d’idées et une plateforme pour les nouvelles voix de la culture indépendante. Isulia défend une vision fédératrice de la fête, où l'art rencontre le sens, et la musique, les consciences.

isulia-bordeaux©François Blanchard

Pensé dans une logique écoresponsable, l’événement privilégie les circuits courts, les options végétariennes et la réduction des risques, avec la présence d'une brigade de bénévoles et de dispositifs de prévention pour garantir un espace sûr et bienveillant à tous·tes.

Un line-up exigeant, pensé pour surprendre et rassembler

Parmi les artistes attendus, le duo Belaria B2B Soyoon réunit deux figures montantes de la scène électronique. Belaria, résidente du Badaboum et de Rinse France, tisse ses sets entre EBM, Italo Body Music et techno planante, dans une esthétique post-punk affirmée. À ses côtés, Soyoon — originaire de Séoul et révélée par Boiler Room — infuse ses performances d’une énergie rave 90s et d’éclectisme radical, forte de résidences au Macadam et au Mihn Club de Hong Kong.


Autre nom à suivre : Salomée, résidente de l’IBoat, qui mêle électro hypnotique et techno lumineuse, en distillant ses sets exclusivement sur vinyle. Le collectif local Heavydance, fer de lance de la scène bordelaise underground, complète l’affiche avec un live à haute intensité, entre puissance brute et liberté sonore.


Une onde collective hors du temps ancrée sur la scène bordelaise 

Isulia continue de tisser son identité : plurielle, indépendante, inclusive et profondément tournée vers le collectif. Bien connu des Bordelais pour sa programmation libre et vibrante, le festival Isulia avait réuni 6 000 festivaliers et festivalières, 32 artistes et groupes et 45 intervenant·e·s pour ses talks l'an dernier. Aucun doute que le prochain tome ne connaisse autant (sinon plus) de succès. 


La billetterie est en ligne 


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