15 erreurs à ne pas commettre lors du confinement saison 2

1. Faire le stock de pâtes, PQ ou farine du supermarché du coin. On sait qu'ils ont prévu le coup, slow down.

2. Te mettre au jogging. On sait maintenant que tu vas courir 2 fois grand max avec les autres joggeurs du dimanche du canal Saint-Martin avant de gentiment retourner manger des Trésor de Kellogs sous ton plaid.

3. Rester en ville dans un 15 m2. Tu sais maintenant que tu vas péter un câble.

4. Aller te confiner à la campagne avec des gens qui ne sont pas tes amis proches juste pour être à la campagne. Là aussi, tu vas péter un câble.

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Une publication partagée par Rey Olivier (@reyolive) le 21 Avril 2020 à 7 :57 PDT

5. Ouvrir cette dernière bière à l'apéro Zoom alors que la soirée est presque terminée. On sait que tu vas encore te retrouver tout seul bourré avec la tête qui tourne dans le lit.

6. Aller à l'épicerie du coin pour acheter un paquet de clopes à 13 € parce que t'as encore raté la fermeture du tabac à 18h30 et que t'es bourré du zoom apéro.

7. Ne prévoir que des fringues pour l'hiver quand tu pars en confinement à la campagne. On sait jamais combien de temps il peut durer, ce confinement…

8. Ne pas faire les courses par flemme, te dire que tu iras demain sans faute, te retrouver à boire de l’eau au Skypero improvisé de dernière minute, et voir tous tes potes bourrés derrière l’écran sauf toi.

9. S’embêter à remplir ton attestation à chaque fois que tu vas à la boulangerie en bas de chez toi. On te donne peut-être pas le bon exemple mais perso on s’est jamais fait contrôler en sortant juste deux minutes (ouais, on vit dangereusement).

10. Ne pas se laver avant de télétravailler. On sait maintenant que si tu restes dans ton miasme toute la journée c'est contre-productif.

11. Passer sa journée de télétravail dans son lit. Le meilleur moyen de ne rien faire du tout à part te faire déconcentrer par Netflix.

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Une publication partagée par Tux (@tuxtheweddingcat) le 3 Nov. 2020 à 8 :22 PST

12. Te chauffer à cuisiner plein de plats de ouf alors que tu vis tout seul et que t’as personne pour les manger avec toi.

13. Attendre 20h pour aller faire les courses alors que tu sais que tout le monde a eu la même idée et que tu vas encore faire la queue 1h pour acheter tes Chocapic.

14. Te dire que tu as tout ton temps pour faire le ménage, et te retrouver quatre semaines plus tard avec ta vaisselle sale qui pousse des cris et commence à muter au fond de l’évier.

15. Démissionner de ton boulot en te disant que ce n’est qu'une petite grippe de rien du tout et que d’ici un mois ou deux tu pourras te remettre à chercher du boulot, sans te douter de la crise économique qui arrivait et que tu resterais certainement au chômage pour le restant de tes jours.

Chez Copain Comme Canard, l’amour du canard ne date pas d’hier. Il coule dans les veines d’Hugues Chazottes, fondateur du restaurant, qui a grandi dans une famille où la rillette remplaçait la pâte à tartiner au petit-déjeuner. Loin d’être une simple lubie, cette passion est un héritage familial : son oncle et sa tante sont les artisans derrière la Maison Argaud, spécialiste du canard depuis 1982. Résultat ? Une adresse qui ne plaisante pas avec la qualité et qui célèbre l’animal sous toutes ses formes.

Après un succès fulgurant à Lyon, l’enseigne prend son envol et pose ses valises à Bordeaux, en plein cœur du quartier Saint-Pierre, à deux pas de l’Église Saint-Pierre et de la Place de la Bourse. Un emplacement de choix, où se croisent l’histoire et l’effervescence bordelaise, entre terrasses animées et art de vivre à la française. Avec 50 places en intérieur, 20 en terrasse et des espaces privatisables, tout est pensé pour accueillir les bons vivants.

Une adresse où le canard fait sa star

Ici, on oublie le dîner guindé et on mise sur la générosité. Le magret se déguste à la pesée, selon l’appétit de chacun. Le foie gras se décline en assiette ou en mode Rossini. Plus audacieux ? Le tartare et le tataki de canard, qui réconcilient les sceptiques avec cette viande d’exception. Et pour les curieux, les tsukune, les tacos croustillants et autres recettes inattendues finissent d’asseoir la réputation de l’adresse.

Mais Copain Comme Canard, ce n’est pas qu’une affaire d’assiette. Le bonheur est aussi dans le verre avec plus de 150 références de vins pour cette ouverture (le directeur de la maison étant sommelier de formation et ancien directeur de salle du restaurant mythique : Frida) et cocktails maison et créatifs, réalisé par une mixologue présente à chaque service. Pas un hasard si la baseline du resto est « Canard - Cocktails - Canons ». Copain Comme Canard, c’est aussi une ambiance. Un lieu de partage, où l’on vient trinquer, déguster et rire sans retenue. Une expérience plus qu’un simple repas, où le terroir rencontre une bonne dose de modernité. Bordeaux, prépare-toi : le canard débarque en force, et il ne compte pas faire tapisserie.