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Les pires endroits pour se faire draguer

Publié le 31 janvier 2017 à 00h00

Modifié le 1 février 2017 à 17h45

par La Rédac'

Parfois c’est flatteur, voire agréable, et ça peut même éventuellement marcher, mais le plus souvent, c’est carrément lourd… Nous parlons bien ici de la drague. Parce qu’elle peut arriver à tous moments, et même les plus improbables, des femmes ont décidé de révéler sur un Reddit les pires endroits où elles s’étaient fait draguer. De quoi donner des idées.


C'est un scénario assez surprenant, et pourtant c’est le premier qui revient sur la liste d'endroits : la drague à l’enterrement. Que ce soit aux funérailles du grand-père, draguée par un ami d’enfance ou par le directeur du cimetière à l'enterrement d'une tante, tous les cas de figure apparaissent. 

Autre endroit assez loufoque : l'hôpital. Pas mal de femmes ont également révélé avoir été dragouillées lors d’un examen médical. « Je me suis fait draguer par la femme qui me faisait une échographie transvaginale. Elle a au moins attendu que je remette mon pantalon, mais en général je ne sors pas avec quelqu’un qui a médicalement examiné mon vagin et mes entrailles. C’est bizarre, je sais », écrit une femme.

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« Mon docteur – PAS l’infirmière, je dis bien mon docteur – m’a invitée à un date pendant que je faisais un test de dépistage AVEC mon copain à l’époque. Et je n’invente même pas cette p***** d’histoire », explique une autre femme. 

Le milieu médical semble particulièrement proprice à la drague, car les docteurs et les infirmières se font eux aussi aborder : « Alors que j’étais en train de vider le sac de drainage du cathéter d’un patient dans un urinoir, il m’a dit qu’il pariait que j’avais un joli corps sous ma blouse", raconte une internaute. 

Une autre rajoute : « Des patients ou des membres de la famille me draguent alors que je les soigne. Une personne m’a même draguée alors que je portais son pénis pour l’aider jusqu’à l’urinoir. »

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Parmi les autres scénarios, on retrouve le prof sinistre, les maris des amies et même les chauffeurs d’Uber.

« Plusieurs chauffeurs Uber m’ont draguée (inviter quelqu’un à un date à la fin d’un trajet quand on descend de la voiture, ça passe encore… mais en revanche c’est hyper gênant d’être coincée dans un petit véhicule pendant un certain laps de temps avec un mec que je viens de rembarrer) » témoigne une femme. 

Pour clore en beauté, voici un dernier exemple d'endroit qui montre bien que même les hommes âgés ne perdent pas le nord : « C’était dans une maison de retraite, et Dieu sait comme ces hommes ont des droits. J’étais assise sur une chaise en train de retirer un panneau sur lequel était écrit le menu et un homme de 90 ans m'a tapoté sur l’épaule, je me suis retournée et il m’a embrassée. Il puait l’alcool. »

Ça te fera peut-être relativiser la prochaine fois que tu te fais draguer dans un bar par un mec relou... Ou pas.  

 

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La fin définitive des moteurs à Bordeaux

D’ici deux ans, le centre de Bordeaux deviendra une vaste zone piétonne, où seuls les transports publics, les vélos, et les piétons auront accès. Les rues bordelaises, qui avaient déjà fait l'objet de quelques expérimentations ces dernières années, seront entièrement réaménagées pour offrir un espace plus sûr et agréable à ses habitants et à ses visiteurs.

Le coût total du projet est estimé à 450 millions d’euros, une somme qui comprend l'installation de nouvelles infrastructures de transport, des aménagements paysagers et l’extension du réseau de tramway. Pierre Lemoine, adjoint au maire de Bordeaux, souligne que "cette initiative fait partie d’un plan à long terme pour redonner de l’air à nos quartiers, améliorer la qualité de vie et réduire la pollution. Bordeaux doit se réinventer et devenir une ville modèle en matière de mobilité durable."

Un nouveau centre-ville aménagé par étapes 

Le projet sera progressivement mis en œuvre à partir de juin 2025, avec des premières étapes qui concerneront les zones autour de la Place Pey-Berland. Les rues commerçantes comme la rue Sainte-Catherine seront parmi les premières à bénéficier de cette nouvelle configuration. Le planning des futures zones est actuellement en cours d'élaboration.

Les répercussions pour les Bordelais sont importantes. Marie Legrand, commerçante de la rue du Loup, se dit optimiste : "Cela risque de changer beaucoup de choses, mais à long terme, je crois que ce sera bénéfique pour tous. Plus de piétons, plus de cyclistes, moins de voitures : c’est un futur que j’attends avec impatience."

À Bordeaux, la voiture cède donc définitivement sa place à la mobilité douce, et les Bordelais pourront profiter d’un centre-ville plus calme et plus écologique d’ici 2026.

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