« Merci de ne pas me souhaiter une bonne fête de la femme »

"Merci de ne pas me souhaiter une bonne fête de la femme" : A l'occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes et six mois après le début de l'affaire Weinstein et du #metoo, la journaliste Fiona Schmidt signe une tribune acide dans ChEEk Magazine. 

Pour rappel, cette journée officialisée en 1977 par l'ONU vise à faire un bilan sur la situation économique, politique et sociale des femmes, organiser des manifestations pour faire un pas de plus vers l'égalité femmes-hommes et dénoncer les injustices dont sont victimes les femmes au quotidien. 

Selon Fiona Schmidt, le 8 mars n'est plus qu'une "parodie d’empowerment à laquelle il est important de ne surtout pas participer". Plus, ce jour s'est selon elle transformé en manifestation commerciale récupérée par les marques pour vendre toutes sortes de "joujous stéréotypés pour féministes en mousse" : au même titre que la Saint-Valentin ou Noël, les commerces de proximité y vont bon train pour vendre leurs goodies, prétextant le women empowerment et ramenant (encore une fois) les femmes aux stéréotypes archaïques qui leur collent à la peau.

"Hélas, cette popularité toute fraîche risque d’être encore plus violemment braquée par le marketing, et le thème de cette journée censée mettre la lumière sur les inégalités et l’activisme en milieu rural est déjà oblitéré par l’opportunisme de géants de la distribution qui voient en la Journée internationale des droits des femmes, opportunément abrégée “Journée internationale de la femme” pour en émousser les aspects les plus contondants, l'occasion de nous refourguer les mêmes merdes inutiles que pour Noël et pour la Saint-Valentin" déplore la journaliste.

La journée internationale des droits des femmes s'est-elle réduite en un simple créneau marketing ultra-juteux ? La question de la récupération se pose aussi d'un point de vue médiatique : Au cours de la cérémonie des Oscars le dimanche 4 mars dernier, le réseau social Twitter s'était aussi emparé du féminisme, plus précisément du mouvement #metoo.

We stand with women around the world to make their voices heard and their presence known. To bring them front and center, today and every day. Join us as we say #HereWeAre pic.twitter.com/cN2Ik6bZU8

— Twitter (@Twitter) 4 mars 2018

Dans un spot publicitaire, on voit la poétesse new-Yorkaise Denice Frohman déclamer ses propres vers face caméra, puis les portraits de 45 femmes à qui ces mots sont destinés : "J’entends une femme devenir elle-même la première fois qu’elle parle sans permission. Ensuite, chacun de ses mots sonne comme une révolte" suivi d'un slogan sous forme de hashtag #HereWeAre soit #NousSommesLa, comprenez "les femmes qui osent parler sont sur Twitter". 

UniGames, le complexe de loisirs nomade 

Depuis son lancement il y a 8 ans, UniGames réinvente le loisir à Bordeaux en proposant une multitude d’activités originales et pour certaines exclusives. Né de la passion commune de Joël et Nicolas, le concept s’est étendu pour être désormais disponible sur trois sites – Pessac, Mérignac et Bordeaux-Lac – en partenariat avec Urban Soccer et Hoops Factory.

Laser Game, Archery Game, Escape Game, et Bubble Foot

L'offre d'UniGames repose sur des jeux d’équipe, accessibles dès l’âge de 7 ans. Parmi les activités les plus populaires : le bubble-foot où l'on pratique l'art du ballon rond dans des bulles géantes transparentes, l’archery game, un paintball revisité où l’on se bat avec des flèches en mousse et un laser game 2.0 en extérieur qui permet via une technologie moderne de jouer en pleine lumière du jour et même de se déporter en forêt. Des scénarios innovants et des modes de jeu variés – du jeu de béret au jeu de rôles avec snipers – promettent une expérience immersive et riche en frissons.

Une nouvelle Murder Party sur le thème Casa de Papel 

Pour ceux qui préfèrent les défis cérébraux, UniGames propose des escape games mobiles qui mêlent réflexion et fun, avec des thèmes inspirés des grands classiques du cinéma. On note par exemple un thème Harry Potter, apéro autour du film Very Bad Trip ou autour du vin et des spécialités Bordelaises.

Dernière nouveauté ? Le lancement d'une Murder Party sur le thème de la série Netflix espagnole à succès. Directement inspiré de l’univers de La Casa de Papel, ce jeu mêle les codes du Cluedo, du Loup Garou et de l’escape game et plonge les joueurs dans une aventure palpitante où ils doivent résoudre un meurtre mystérieux. Les rôles sont attribués à chaque participant avant la partie.

Si la première partie se déroule dans un échange d’informations et d’indices, la seconde phase se concentre sur la recherche d'indices dans des décors fascinants. Le suspense culmine avec un vote final pour élire le coupable. Disponible sur place ou à emporter, ce jeu d’enquête, entre réflexion et adrénaline, se joue par groupes de 8 à 30 participants. Une aventure parfaite pour les férus de défis collaboratifs.

Un terrain de jeu pour les amoureux d'aventure 

Très appréciés dans le cadre des anniversaires, des EVG/EVJF, des séminaires ou des sorties en famille, les UniMoments ajoutent un peu de piment et de mystères aux réunions de groupes. Chaque activité, qu’elle soit pratiquée sur site ou exportée à domicile ou en entreprise, invite à la collaboration, à l’esprit d’équipe et à la convivialité. Dans la joie et l’adrénaline !