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Ciao le point G : le point A est le nouveau Nirvana du plaisir sexuel

Publié le 3 janvier 2019 à 16h54

Modifié le 13 juillet 2020 à 14h05

par La Rédac'

Ce qui était, il y a encore quelques années, l'un des secrets les mieux gardés de l'humanité, semble petit à petit se divulguer... La belle avancée ? On vient de découvrir (hum) le rôle du clitoris. Il était temps ! Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, on apprend qu'il a près de 8000 terminaisons nerveuses, de quoi faire toutes les lettres de l'alphabet. On vous en propose une à la fois, aujourd'hui on parlera du point A.


Back to basics 

TOUS les orgasmes sont liés, de près ou de loin, au clitoris. Correspondant à peu près à la taille d'un pénis moyen, cet organe orgasmique commence sous les lèvres et remonte jusque dans l'abdomen, ce qui en fait un organe étendu constitué de miiiiiillieeeeers de terminaisons nerveuses susceptibles de nous procurer du plaisir. 

Et le point A, c'est quoi ?

Le point A (comme le point G et le point C d'ailleurs) est une zone encore plus sensible que les autres qui est cencée nous filer une bonne dose de frissons et d'endorphines. Il est situé dans le vagin, à l'arrière du clitoris. Vous souhaitez plus d'indices ? Foncez expérimenter !

Allez-y tranquillement, après vous être lavé les mains, et arrêtez-vous lorsque vous sentez un point dur à l'arrière du vagin : c'est le col de l'utérus. Caressez la zone délicatement jusqu'à trouver le point qui vous fait du bien. Et parce qu'il est proche du rectum, le point A s'expérimente également très bien lors du sexe anal. 


Le clitoris est définitivement un organe merveilleux aux mille et une possibilités de décoler. Le maître-mot ? En profiter !

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Un nouveau quartier végétalisé est en construction pour relier les quais de Bordeaux à la gare

Publié aujourd'hui à 09h00

par La Rédac'

Vendredi 11 avril 2025, un symbole fort a été posé : la première pierre de Canopia, un projet urbain inédit qui redessine avec audace les abords de la gare Saint-Jean, entre pierre blonde, nature foisonnante et nouvelles mobilités. Sur 4 hectares de friche, là où s’élevait récemment le bâtiment de l’INSEE, un nouveau chapitre s’ouvre pour Bordeaux, dans le cadre de l’Opération d’Intérêt National Bordeaux Euratlantique.

canopia-bordeaux©Apsys-Canopia-Vincent Desmet

Une artère piétonne de 600 m2 arborée

Pensé comme la nouvelle porte d’entrée de la ville, Canopia est porté par le développeur Apsys, en partenariat avec l’architecte Edouard François et le paysagiste Michel Desvigne. À l’horizon 2027, le quartier accueillera une rue-parc piétonne de 600 mètres, 600 arbres, 12 000 m² de toitures végétalisées, et un tissu harmonieux mêlant logements, commerces, hôtels, bureaux et lieux culturels, dans le respect rigoureux du patrimoine architectural bordelais inscrit à l’UNESCO.

quartier-canopia-bordeaux©Apsys-Canopia-Vincent Desmet

Comme une ville dans la ville 

Avec 30 000 m² de surfaces commerciales, 15 000 m² dédiés à la restauration et aux loisirs, 6 400 m² de logements, 6 rooftops et un quartier entièrement pensé pour les mobilités douces, Canopia se veut un laboratoire vivant du Bordeaux de demain. Le réemploi des pierres anciennes, la revalorisation de 95% des matériaux issus de la déconstruction, et le refroidissement passif des bâtiments grâce à l’eau de la Garonne en font un projet exemplaire sur le plan environnemental.

canopia-bordeaux-quais-gare©Apsys-Canopia-Vincent Desmet

Le chantier, qui mobilisera 900 emplois durant sa construction et 1 200 en phase d’exploitation, avancera en plusieurs temps : les premiers bâtiments émergeront dès l’été 2025 côté Saget, puis à l’automne côté Descas, tandis qu’un parking souterrain de 630 places sortira de terre entre mi-2025 et mi-2027.

Une respiration entre ville et fleuve sur une ancienne friche urbaine

Adossé au futur parc Descas, deux hectares de verdure en lieu et place d’un ancien nœud routier, avec une ouverture partielle prévue dès 2025, Canopia va relier la Garonne et la gare Saint-Jean, dont les flux vont augmenter de moitié d’ici 2040. Pour Christine Bost, Présidente de la Métropole, « Canopia illustre la capacité de la ville à penser un urbanisme du lien, du vivre-ensemble et de la transition écologique ».

canopia-bordeaux-quartier©Apsys-Canopia-Vincent Desmet

« Architecturale, environnementale, urbaine », résume Maurice Bansay, Président-fondateur d’Apsys. Car au-delà d’un projet d’aménagement, Canopia incarne une vision : celle d’un quartier vivant 7 jours sur 7, ouvert, inclusif, animé, où le commerce responsable, l’Économie Sociale et Solidaire, et la nature trouvent enfin une place de choix au cœur de la cité. Plus qu'un quartier, les porteurs promettent un nouveau souffle tissant un lien doux entre centre historique et nouveaux quartiers de la rive gauche et droite. 

bordeaux-canopia©Apsys-Canopia-Vincent Desmet

Livraison prévue en une seule phase au 2ème trimestre 2027 après plus de 2 ans de travaux. 


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