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Ce que pensent (vraiment) les européens des français en vacances

Publié le 5 avril 2017 à 00h00

Modifié le 9 avril 2018 à 08h56

par La Rédac'

Le site Travelzoo a voulu répondre à une question de longue date. Correspond-on vraiment aux clichés qui nous collent à la peau ? 2398 Européens ont répondu à leur enquête et ont dit ce qu’ils pensaient - entre autres - des touristes français à l’étranger. Nous ne pourrons plus dire que nous ne savions pas ! 

Nos (petits) mauvais côtés

Commençons par les défauts pour finir sur une bonne note. Sans surprise, les Français, même en vacances, seraient des râleurs indétrônables. Mais qu’on se rassure ! La raison de ce mécontentement permanent serait que nous sommes exigeants ! Alors forcément, quand rien n'est à notre niveau, on se sent obligés de commenter. Peut-être pour que les autres s'améliorent ? Au final, on ne veut que leur bien.

Bon, apparemment, on serait aussi arrogant. On ferait moins d'efforts que nos voisins européens à parler une autre langue par exemple. So ?

touristes-français

Enfin, les étrangers nous trouveraient radins. En effet, le pourboire et nous ça fait deux. Et ils peuvent toujours courir pour qu’on leur laisse deux euros en plus de la note. Comme le réflexe du « tip » n’est pas ancré dans notre culture, le touriste français serait le moins rentable à servir. Mais c’est une question de cul-ture, pas d'oursins dans les poches. Ou peut-être les deux... 

Sous notre meilleur jour

Voyons voir... Qu’est-ce que nos voisins européens auraient à nous envier ? Et bien deux choses : notre élégance et notre culture. Bim. Dans les esprits, la France reste le pays de la mode, du luxe et des marques. Dans les faits, le Français aurait tendance à faire plus attention à sa tenue que les touristes des autres nationalités (on ne fera aucun commentaire sur les tenues de nos voisins européens). Serait-on plus cultivés ? C'est ce que prétend Stéphane Renard, responsable éditorial de Travelzoo France. Selon lui, les Français voyagent pour « prendre du bon temps, mais aussi à visée culturelle ». 

clichés-paris@Mélanie Laurent dans Inglourious Basterds

On dirait que les adjectifs qui reviennent le plus souvent s'accordent avec les clichés de l'Hexagone. Vous vous êtes reconnus ?

En bonus : On reste sur les clichés en apprenant « Comment énerver les Européens en une phrase ? ». A garder en tête pour notre prochain voyage !

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Né en 2021, Isulia dépasse les frontières d'un simple festival : c’est un espace vivant, libre et inclusif, où s’entrelacent création, réflexion et engagement. Témoin des mutations artistiques et sociétales, il s'affirme comme un laboratoire d’idées et une plateforme pour les nouvelles voix de la culture indépendante. Isulia défend une vision fédératrice de la fête, où l'art rencontre le sens, et la musique, les consciences.

isulia-bordeaux©François Blanchard

Pensé dans une logique écoresponsable, l’événement privilégie les circuits courts, les options végétariennes et la réduction des risques, avec la présence d'une brigade de bénévoles et de dispositifs de prévention pour garantir un espace sûr et bienveillant à tous·tes.

Un line-up exigeant, pensé pour surprendre et rassembler

Parmi les artistes attendus, le duo Belaria B2B Soyoon réunit deux figures montantes de la scène électronique. Belaria, résidente du Badaboum et de Rinse France, tisse ses sets entre EBM, Italo Body Music et techno planante, dans une esthétique post-punk affirmée. À ses côtés, Soyoon — originaire de Séoul et révélée par Boiler Room — infuse ses performances d’une énergie rave 90s et d’éclectisme radical, forte de résidences au Macadam et au Mihn Club de Hong Kong.


Autre nom à suivre : Salomée, résidente de l’IBoat, qui mêle électro hypnotique et techno lumineuse, en distillant ses sets exclusivement sur vinyle. Le collectif local Heavydance, fer de lance de la scène bordelaise underground, complète l’affiche avec un live à haute intensité, entre puissance brute et liberté sonore.


Une onde collective hors du temps ancrée sur la scène bordelaise 

Isulia continue de tisser son identité : plurielle, indépendante, inclusive et profondément tournée vers le collectif. Bien connu des Bordelais pour sa programmation libre et vibrante, le festival Isulia avait réuni 6 000 festivaliers et festivalières, 32 artistes et groupes et 45 intervenant·e·s pour ses talks l'an dernier. Aucun doute que le prochain tome ne connaisse autant (sinon plus) de succès. 


La billetterie est en ligne 


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