Cette station des Alpes prolonge la saison de ski jusqu’en mai !

Entre descentes de ski sous le soleil printanier et soirées électro perchées à 2000 mètres d’altitude, la station savoyarde vous prépare un Spring Break bien givré du 19 avril au 4 mai.

Tignes, le spot ultime pour skier et faire la fête jusqu’au printemps

Vous pensiez que le ski, c’était fini cette année ? Erreur fatale. À Tignes, la neige joue les prolongations et vous offre deux semaines de pur bonheur avec des pistes ouvertes jusqu’au 4 mai. Mais attention, on ne parle pas seulement de skier tranquillou bilou. Non, non, non. On parle de rides ensoleillés le jour et DJ sets enflammés le soir, le tout dans un décor de carte postale.

Du 19 avril au 4 mai, Tignes se transforme en un open-air géant avec concerts, animations déjantées, descentes endiablées et une ambiance digne des plus belles fêtes de fin de saison. Bref, le plan parfait pour ceux qui rêvent de claquer leurs dernières courbes avant l’été... et de s’en souvenir longtemps !

Un closing XXL avec le Festival Tignes Unlimited

Et comme Tignes aime finir en beauté, préparez-vous à un closing légendaire grâce à la seconde édition du Festival Tignes Unlimited. Au programme ? Rien de moins que Laurent Garnier, Nina Kraviz, Paul Kalkbrenner et d'autres pointures de la scène électro, prêts à retourner les pistes et les dancefloors jusqu’au bout de la nuit.

5 spots festifs, 8 jours de musique, des pistes à la scène, et des souvenirs plein la tête. Entre deux virages, on vous conseille d’aller checker la prog' et réserver votre pass illico.

En famille ou entre potes, direction la station de Tignes !

Ce qui est cool avec le Spring Break de Tignes, c’est qu’il y en a pour tout le monde. Vous partez avec les kids ? Parfait ! Journées plus longues, neige douce, pistes pour débutants et animations pour petits et grands, le tout sans les foules de février.

Vous venez entre amis ? À vous les sessions ride et le dancefloor, les verres en terrasse et les couchers de soleil rosés (au sens propre comme figuré). En résumé, c’est l’escapade idéale pour finir la saison en beauté, sans stress et dans la bonne humeur.

Selon, Axel Sibert Conseiller Municipal de Dijon et Président du Laboratoire d'Idées Dijonnais : “Les questions de mobilités à Dijon sont plus que jamais d'actualité et le développement du tram à Dijon sera un des principaux sujets de la prochaine campagne municipale !”

Une 3ème ligne de tram à Dijon, un tracé qui favorise l’Est, et les autres alors ?

Le plan porté par Axel Sibert prévoit une liaison entre Dijon, Longvic, Sennecey-lès-Dijon et Chevigny-Saint-Sauveur, desservant l’Est dijonnais. On ne va pas se mentir, c’est une avancée pour de nombreux habitants qui, jusqu’ici, devaient jongler entre bus bondés et trajets en voiture pour rejoindre le centre-ville.

Mais une fois encore, l’Ouest dijonnais passe à la trappe. Talant, Fontaine-lès-Dijon, Plombières-lès-Dijon, le quartier de la Fontaine-d’Ouche et même Saint-Apollinaire ne sont pas dans les petits papiers du projet. Pourtant, ces secteurs regroupent des milliers d’habitants qui mériteraient autant d’attention que ceux de l’Est.

Financement et calendrier du nouveau Tram à Dijon

Selon nos confrères, d’Info Dijon, le coût estimé de ce projet s'élève tout de même à 400 millions d'euros. Bien que ce projet de troisième ligne de tramway soit encore en phase de conception, il représente une opportunité majeure pour l'avenir de la mobilité à Dijon. Les décisions à venir dépendront des études en cours, des financements disponibles et des priorités fixées par la ville. On ne connait pas du tout encore le calendrier de ce projet de 3ème ligne pour le tram dijonnais.

A quand une mobilité verte et surtout sécurisée à Dijon ?

Soyons clairs : un tramway, c’est une victoire pour la transition écologique. Moins de voitures, moins de pollution, une ville plus fluide et plus agréable à vivre. Dijon a déjà montré l’exemple avec son réseau existant, et cette troisième ligne va dans le bon sens.

Mais à l’heure où l’on parle d’une ville verte, où en sont les infrastructures sécurisées pour les vélos ? Où sont les investissements pour un vrai réseau cyclable qui permettrait d’éviter les trajets dangereux et inconfortables pour les cyclistes ? Dijon a le potentiel de devenir une référence en matière de mobilité douce, mais pour cela, il faut aller plus loin !

Alors, Dijon, on s’arrête en route ou on va jusqu’au terminus d’une vraie ville durable et accessible ?