François Rebsamen, le maire de Dijon, passe le flambeau.

Un passage de relais bien mûri

François Rebsamen a surpris plus d’un Dijonnais avec son annonce de démission. Après de longues années de bons et loyaux services, il semble que notre maire ait décidé que le moment était venu de "faire respirer la démocratie". Il veut laisser la place aux jeunes pousses, aux nouvelles idées, et qui sait, peut-être à une nouvelle ère pour notre chère capitale bourguignonne.

C’est Nathalie Koenders, sa première adjointe depuis 2015, qui est pressentie pour lui succéder. Nathalie pourrait bien devenir la première femme à tenir les rênes de la ville de Dijon. Si le conseil municipal donne son feu vert, elle aura la lourde tâche de poursuivre les projets en cours tout en y injectant sa propre dose de nouveauté et de sensibilité féminine. Pas une mince affaire !

Un avenir prometteur pour Dijon ?

Quand on parle de transmission, on pense souvent à un simple changement de nom sur la porte du bureau du maire. Mais ici, on parle de bien plus que ça. François Rebsamen nous assure qu’il reste aux manettes de la Métropole, prêt à continuer à œuvrer pour notre belle région avec autant de ferveur qu’avant. Sa mission ? Rien de moins que la transition écologique et le renforcement des valeurs de solidarité et de justice sociale.

Nathalie Koenders, quant à elle, a tout pour plaire et pour réussir. Déjà bien ancrée dans les affaires de la ville, elle connaît les dossiers par cœur et a cette petite étincelle d'ambition bienveillante qu’il faut pour faire bouger les choses. Si elle est élue, ce sera une grande première pour Dijon et peut-être le début d'une nouvelle ère empreinte de fraîcheur et d’innovations.

En attendant la décision du conseil, on ne peut que spéculer sur les futurs développements. Mais une chose est sûre, le changement est dans l'air et il pourrait bien apporter un vent de fraîcheur sur Dijon. Restez branchés, chers Dijonnais, pour suivre cette histoire qui, nous l’espérons, sera aussi pétillante et vivifiante qu’un bon kir !

Paul de Saint Sernin : l’art de faire rire avec le malaise

Vous ne connaissez pas encore Paul de Saint Sernin ? Pas d’inquiétude, on vous fait les présentations ! Chroniqueur aux punchlines impertinentes dans l’émission "Quelle Époque !" sur France 2, ce trentenaire a fait de ses mésaventures une véritable marque de fabrique. Son humour ? Des vannes très personnelles, beaucoup de malaise (assumé), de l’introspection et des anecdotes gênantes à la pelle.

Sur scène, Paul partage tout avec un flegme désarmant : la fois où une fille l’a humilié devant tout son lycée, celle où il s’est planqué huit heures dans un buisson pour échapper à une raclée, ou encore ce psy qui lui a un jour asséné qu’il était incapable d’aimer. Oui, oui, il ose tout ! Et devinez quoi ? On rit avec lui de ses malheurs, tant il sait rendre le gênant hilarant (sans jamais tomber dans la vulgarité).

Comme il le dit lui-même : « Moi je veux juste faire marrer les gens, c’est tout. »

Un spectacle impertinent au Théâtre des Feuillants

Notez bien la date : le samedi 5 avril 2025 à 20h, Paul de Saint Sernin prend d’assaut la scène du Théâtre des Feuillants (9 rue Condorcet, 21000 Dijon).

Après un premier passage réussi chez nos voisins bisontins le 19 janvier 2025, l’humoriste débarque chez nous fin prêt à délivrer sa bonne parole (ou plutôt ses mauvaises blagues) aux Dijonnais.

Attendez-vous à une soirée de stand-up pas comme les autres : Paul de Saint Sernin joue la carte de la complicité avec son public, transformant la salle en confessionnal à ciel ouvert. Le cadre intimiste du Théâtre des Feuillants est idéal pour accueillir son humour sans filtre et son énergie débordante. Fous rires un peu jaunes et grande évasion du quotidien en perspective, le tout avec le sourire (et quelques rougeurs) aux joues.

Alors, prêt(e) pour l’expérience ? Réservez vos places sans tarder et préparez-vous à vivre un moment aussi décalé qu’hilarant.

Si vous êtes friand de spectacles d’humour, jetez donc un œil au Festival Drôle et Chouette qui a fait hurler de rire les Dijonnais l’été dernier, ou à l’étonnante Philippine Delaire qui a récemment conquis le public dijonnais.