La vraie recette du poulet Gaston Gerard de Reine Geneviève Bourgogne

Il y a ceux qui préfèrent suivre à la lettre les étapes d’une recette de cuisine et il y a les plus créatifs d’entres nous, qui préfèrent inventer avec ce qu’il y a dans les placards et dans le réfrigérateur comme Reine Geneviève Bourgogne.

Comment a été inventée la recette du Poulet Gaston Gérard ?

La naissance de la recette du Poulet Gaston Gérard remonte à un heureux accident de cuisine survenu en août 1930. Reine Geneviève Bourgogne, première épouse de Gaston Gérard, alors ministre député maire de Dijon préparait sa recette familiale de poulet lorsqu’un pot de paprika fut malencontreusement renversé dans sa préparation. Pour pallier cet incident, elle ajouta du vin blanc de Bourgogne, de la crème fraîche et du comté râpé à la préparation. L'accident s'est transformé en succès culinaire, que l’on connait aujourd’hui et que l’on peut déguster dans la plupart des restaurants traditionnels de la ville.

Les ingrédients pour un poulet façon Gaston Gérard

• 1 poulet entier
• 1 cuillère à café de moutarde de Dijon
• 250 g de crème fraîche
• 100 g de fromage râpé (de préférence du comté)
• 300 ml de vin blanc
• 1 cuillère à café de paprika
• Sel et poivre

La recette originale du poulet Gaston Gérard

1. Préchauffez votre four à 180°C.
2. Coupez le poulet en morceau et le disposer dans un plat allant au four.
3. Dans un bol, mélangez la moutarde de Dijon, la crème fraîche, le fromage râpé, le vin, le paprika, le sel, et le poivre.
4. Nappez généreusement les morceaux de poulet avec cette préparation.
5. Enfournez pour environ 1 heure, en arrosant régulièrement le poulet avec la sauce.
6. Lorsque le poulet est bien doré et que la sauce est crémeuse, il est prêt à être dégusté !

Un plat qui a conquis le monde

Le Poulet Gaston Gérard est rapidement devenu une icône culinaire de Dijon et a conquis le monde entier. Son mélange de saveurs audacieux et sa simplicité d'exécution en font un incontournable des tables bourguignonnes.

Paul de Saint Sernin : l’art de faire rire avec le malaise

Vous ne connaissez pas encore Paul de Saint Sernin ? Pas d’inquiétude, on vous fait les présentations ! Chroniqueur aux punchlines impertinentes dans l’émission "Quelle Époque !" sur France 2, ce trentenaire a fait de ses mésaventures une véritable marque de fabrique. Son humour ? Des vannes très personnelles, beaucoup de malaise (assumé), de l’introspection et des anecdotes gênantes à la pelle.

Sur scène, Paul partage tout avec un flegme désarmant : la fois où une fille l’a humilié devant tout son lycée, celle où il s’est planqué huit heures dans un buisson pour échapper à une raclée, ou encore ce psy qui lui a un jour asséné qu’il était incapable d’aimer. Oui, oui, il ose tout ! Et devinez quoi ? On rit avec lui de ses malheurs, tant il sait rendre le gênant hilarant (sans jamais tomber dans la vulgarité).

Comme il le dit lui-même : « Moi je veux juste faire marrer les gens, c’est tout. »

Un spectacle impertinent au Théâtre des Feuillants

Notez bien la date : le samedi 5 avril 2025 à 20h, Paul de Saint Sernin prend d’assaut la scène du Théâtre des Feuillants (9 rue Condorcet, 21000 Dijon).

Après un premier passage réussi chez nos voisins bisontins le 19 janvier 2025, l’humoriste débarque chez nous fin prêt à délivrer sa bonne parole (ou plutôt ses mauvaises blagues) aux Dijonnais.

Attendez-vous à une soirée de stand-up pas comme les autres : Paul de Saint Sernin joue la carte de la complicité avec son public, transformant la salle en confessionnal à ciel ouvert. Le cadre intimiste du Théâtre des Feuillants est idéal pour accueillir son humour sans filtre et son énergie débordante. Fous rires un peu jaunes et grande évasion du quotidien en perspective, le tout avec le sourire (et quelques rougeurs) aux joues.

Alors, prêt(e) pour l’expérience ? Réservez vos places sans tarder et préparez-vous à vivre un moment aussi décalé qu’hilarant.

Si vous êtes friand de spectacles d’humour, jetez donc un œil au Festival Drôle et Chouette qui a fait hurler de rire les Dijonnais l’été dernier, ou à l’étonnante Philippine Delaire qui a récemment conquis le public dijonnais.