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Immobilier : Chevigny dans le top 3 des communes les plus dynamiques

undefined undefined 26 novembre 2025 undefined 18h00

La Rédac'

Les grandes villes à la peine, les petites qui cartonnent

Pendant que les grandes villes voient leurs taxes foncières s’envoler et leurs loyers plafonner, un autre mouvement s’opère. En marge des métropoles, les villes moyennes et petites communes gagnent du terrain. Plus abordables, plus stables fiscalement et souvent plus agréables à vivre, elles attirent de plus en plus d’investisseurs.

C’est ce que révèle le nouvel Indice d’Attractivité Fiscale (IAF) de la plateforme Maslow.immo, qui croise deux données clés : la vitalité du marché immobilier (mesurée via les transactions) et la pression fiscale locale (calculée à partir de l’évolution de la taxe foncière).

Résultat : certaines communes de moins de 15 000 habitants affichent un marché étonnamment dynamique tout en gardant une fiscalité contenue, un combo rare par les temps qui courent.

immobilier à dijon et chevigny st sauveur

Chevigny-Saint-Sauveur, la pépite de la région dijonnaise

D’après ce classement national, Chevigny-Saint-Sauveur décroche la 3ᵉ place des petites communes les plus actives du pays, avec un IAF de 95,01 / 100. À titre de comparaison, seules Déville-lès-Rouen (76) et Saint-Laurent-de-la-Salanque (66) font mieux.

En clair : le marché immobilier y bouge beaucoup, proportionnellement à la taille de la ville, sans que les impôts locaux ne viennent freiner l’élan.

Cette performance illustre la vitalité de la périphérie dijonnaise : un territoire qui attire autant les investisseurs prudents que les familles en quête d’espace, de services et de prix raisonnables.

« L’IAF montre que la fiscalité ne suffit pas à expliquer l’attractivité d’un territoire, mais qu’elle aide à redessiner la carte des zones à potentiel », souligne Pierre-Emmanuel Jus, Directeur délégué de Maslow.immo.

Dans un contexte de hausse généralisée des taxes foncières (+ 37 % en dix ans selon l’UNPI), cet indicateur aide à distinguer les communes qui conservent un potentiel d’investissement durable.

Et si, finalement, la vraie bonne affaire n’était pas à Lyon, Bordeaux ou Paris… mais juste à 10 minutes de Dijon ?

Sources : Maslow.immo, UNPI