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La saga cultissime Shrek accusée de transphobie et transmisogynie

Publié le 28 avril 2021 à 14h33

Modifié le 28 avril 2021 à 15h01

par Mégane Lourenco

Vu chez nos confrères d'Aufeminin : Shrek, la saga qui a bercé notre adolescence / enfance, serait... transphobe. C'est en 2001 que le premier volet sortait sur les écrans et le film d'animation avait tout pour plaire : une parodie des contes les plus célèbres, un ogre au caractère bourru en guise de héros, une princesse qui rote ouvertement et un prince charmant qui n'en a que le nom. En bref, Dreamworks proposait un combo gagnant et a su séduire les petits comme les plus grands ! 

Seulement voilà, aujourd'hui est pointé du doigt sur Twitter tout autre chose concernant la franchise... Les films sont accusés de transphobie. Et cela se démontrerait via deux personnages : Doris et le loup du Petit Chaperon Rouge. Les internautes se questionnent sur la non-binarité supposée de deux personnages. Plusieurs dénoncent une représentation complètement faussée des personnes transgenres. On peut lire entre autre des commentaires : "Je vous en supplie, informez-vous au moins au sujet des caricatures transmisogynes les plus courantes, pour qu'elles cessent de perpétuer la transphobie, mais d'une manière 'conscientisée'. C'est tellement fatiguant..."

Doris et le loup seraient donc des représentations transmisogynes. Comme l'explique l'article source : "Dans Shrek, les représentations des personnages de Doris et le loup du Petit Chaperon rouge relèvent de la transmisogynie, cette discrimination à la croisée du sexisme et de la transphobie dont sont victimes les femmes transgenres, et qui ne peut être vécue par les femmes et les hommes cisgenres. Elle implique notamment l’hypersexualisation des femmes trans mais aussi, un certain nombre d’archétypes, selon lequel une femme trans n’est pas tout à fait une femme et reste très “masculine”... comme Doris dans Shrek. Pire encore, la transmisogynie implique que les femmes transgenres sont des prédatrices sexuelles, ou simplement des hommes “déguisés” en femme, comme le loup dans Shrek."

Affaire à suivre...

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Du nouveau du côté du pôle de commerces et de loisirs de Confluence dans le 2e arrondissement de Lyon !  Parmi les arrivées attendues, la célèbre marque de chaussures André ouvre un magasin flambant neuf de 133 m², avec une sélection d’accessoires haut de gamme pour parfaire chaque look. Du côté du prêt-à-porter, Bershka va bientôt s’installer au 1er étage du centre, promettant aux fans de mode des collections toujours plus tendances. Et ce n’est pas tout : la boutique Zara du rez-de-chaussée est en plein agrandissement et doublera sa surface sur deux niveaux. Pour patienter, un pop-up store temporaire est installé au 1er étage.

Du shopping, du loisir et de la gourmandise au programme

Les amateurs de sneakers et de tenues sportswear ne seront pas en reste puisque JD Sports inaugurera son tout nouvel espace de 250 m² au niveau 0 début avril. De quoi renouveler sa garde-robe avec les dernières tendances streetwear. Le dernier étage, quant à lui, mise sur l’immersion avec l’arrivée d’une nouvelle exposition chez Eclipso Lyon. Intitulée Avec les Derniers Remparts – Carcassonne 1304, cette expérience promet une plongée captivante dans le Moyen-Âge.

Enfin, les amateurs de cuisine asiatique seront ravis d’apprendre que Woko fait son grand retour à Confluence. L’enseigne reprend exactement sa place d’origine, remplaçant Beau & Bùn. Son come-back s’accompagne d’un repositionnement de marque, avec une baisse des prix et une offre recentrée sur l’Asian Street-Food.

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