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On a testé Dood, l’appli lyonnaise pour commander ce que tu veux, quand tu veux et où tu veux

Publié le 12 février 2019 à 07h30

Modifié le 5 octobre 2020 à 15h58

par Antoine Lebrun

Une start-up lyonnaise se lance dans le grand bain de la food. Dood te propose les cartes des restaurants, coffe-shops et commerces autour de ta position et t’invite à commander ton repas ou ton goûter en deux petits clics. Il te suffit ensuite d’aller récupérer ta commande et le tour est joué. On a testé l’appli et on l’a très vite adoptée. Une expérience garantie sans coût de livraison ni minimum d’achat.


Tu connais forcément ce terrible moment. Cet instant où une énorme fringale s’empare de ton estomac alors que ton frigo est désespérément vide. Ton réflexe inné, c’est celui de saisir ton sauveur (ou plutôt ton portable) en quête d’un plat bien fat à déglinguer avant que tu ne perdes définitivement connaissance. Mais plutôt que de persister avec UberEats et autres plateformes de livraison à domicile, on t’invite cette fois à faire dans le local en testant Dood, la nouvelle appli lyonnaise qui te propose les adresses ouvertes prêtes à te régaler autour de toi.

Contrairement aux services de livraison à domicile, Dood met en relation le client avec le restaurant et autre commerce qui l’intéresse en temps réel. En quelques clics, on tombe sur le menu du resto en bas de chez nous ou sur notre trajet pour y commander (ou y précommander) notre plat préféré. Une commande immédiatement envoyée en cuisine et nous voilà prévenu par une notification lorsque celle-ci est prête. Et ça marche aussi pour commander sa bagette à la boulagerie ou son café en sortie de réunion. Une fois la commande préparée, c’est alors à nous de jouer pour aller la récupérer.

Les meilleures adresses autour de toi sans aucun frais

Une question te taraude : pourquoi devoir se motiver alors que tu pourrais te contenter d’ouvrir la porte à un livreur ? On s’est aussi posé cette interrogation et voici notre retour d’expérience : déjà, avec Dood, on oublie les frais de livraison. Le ou les plats commandés sont au même prix qu’au restaurant, aucun surplus n’est laissé à la charge de l’utilisateur. Ensuite, ça nous permet de bouger un peu (déjà qu’on mange comme des cochons, faut pas pousser non plus) et ça fait découvrir des adresses situées autour de nous qu’on ne connaîtrait pas forcément. Aussi, ça nous permet d’établir un rapport de proximité avec les commerçants, un détail ô combien précieux par les temps qui courent. Et enfin, on oublie l'attente grâce au coupe-file Dood qui nous autorise à être servi en dès notre arrivée.

Qu'il s'agisse du petit déj', du déjeuner, du café ou même de la bouteille de vin que tu veux ramener chez tes potes, Dood t'accompagne tout au long de la journée. Autre spécificité propre à Dood : dans une démarche anti-gaspi, l’appli propose des offres promotionnelles avec des réductions sur certains plats. Pour payer encore moins cher que si on mangeait au resto. Donc si on résume : Dood te garantit des plats gourmands disponibles dans un temps record en bas de chez toi, des tarifs avantageux et des offres exclusives. Et c'est lyonnais alors on fait marcher les start-ups locales !

Pour t'inviter à tester à tester Dood, on t'offre 25% de réduction sur ta première commande avec le code promo LEBONBON25


Télécharger l'application Dood

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Un marché saturé et des loyers qui grimpent

En 2024, le loyer moyen à Lyon atteignait 723 € pour 32 m², soit une augmentation de 3,3 % en un an, bien au-delà de l’inflation. Certes, Paris reste hors catégorie avec ses 39 €/m², mais l'offre y est paradoxalement plus accessible. À Lyon, certains quartiers comme la Presqu'île, Croix-Rousse, ou encore Gerland voient leurs logements disparaître des annonces en quelques heures à peine.

L’attractivité de la ville, souvent citée comme une alternative économique à Paris, joue contre elle. Entre son dynamisme économique, ses infrastructures modernes et son cadre de vie idyllique, Lyon attire chaque année des milliers de nouveaux habitants... sans que le parc immobilier ne suive.

Les jeunes, premières victimes de cette tendance

Pour les étudiants et jeunes actifs, c’est le parcours du combattant. Studios, T1, et petits appartements sont les cibles d’une compétition féroce, où les propriétaires privilégient les profils les plus solides. Résultat : des loyers qui explosent. Certains sont prêts à claquer jusqu’à 900 € pour un studio, une aberration pour une génération déjà précarisée.

Et comme si ça ne suffisait pas, les propriétaires en rajoutent une couche : cautions démesurées, garanties XXL et exigences ridicules. Beaucoup n’ont d’autre choix que de s’éloigner des centres-villes ou de se tasser en colocation dans des surfaces ridiculement petites. Un autre fléau : les locations saisonnières. En transformant des logements résidentiels en Airbnb lucratifs, les propriétaires réduisent encore davantage l’offre pour les habitants locaux. Lyon est désormais une jungle immobilière où touristes et résidents se disputent le moindre mètre carré.

Mis en place en 2021, l’encadrement des loyers devait calmer les ardeurs des propriétaires... mais il reste largement contourné. 29 % des loyers dépassent les plafonds autorisés, selon la Fondation Abbé Pierre. Entre compléments de loyers abusifs et baux saisonniers déguisés, les locataires sont les grands perdants de ce système dévoyé.


Source : Économie Matin


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