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10 signes qui prouvent que vous n'avez plus 20 ans

Publié le 7 juin 2017 à 12h37

Modifié le 21 décembre 2020 à 09h36

par La Rédac'

Vous vivez mal les lendemains de soirée

Il est midi, vous tentez difficilement de décoller vos yeux gonflésDormir le plus longtemps possibile pour tenter de récupérer n'a pas suffi. Là, maintenant, seul et sale dans vos draps, vous ressentez les conséquences de l'âge. La gueule de bois est un tunnel noir et profond que vous vous évertuez à nier. Pourtant, le premier pas serait d'accepter que ces maux de tête, ce foie endolori et cette faiblesse physique outrancière ne sont que les prémices de ce qui vous attend pour le reste de votre vie. A 18 ans, après une teuf, votre corps vous dit « recommence ». A 25, il vous supplie de l'abreuver d'un tonneau de thé et d'une grande assiette de quinoa.


Vous mangez "healthy"

L'indépendance (et la solitude) vous a forcé à cuisiner vous-même, pour vous-même. De fait, elle vous a aussi forcé à commander, aller au fast food, vous gaver de surgelés. Et vous avez progressivement compris, encore une fois grâce aux maux de ventre, que votre estomac n'est pas le receptacle de votre immonde laisser-aller. Et puis il y a autre chose, aussi : vous allez devenir gros. La cellulite s'accumule sur votre corps comme les années sur votre visage ; manger ou grossir, il faut choisir. 


Vous n'êtes pas sur Snapchat

Les réseaux sociaux sont un poison. Une épine dans le pied de la communication, un frein à l'épanouissement personnel, au contact humain et même à l'amour. De fait, Snapchat est pour vous une application (si tant est que vous sachiez que c'en est une) sans utilité aucune. En même temps, il est vrai qu'elle peut s'avérer en effet dispensable si seule votre nièce de 16 ans vous envoie des photos dessus.


Vous ne comprenez pas certains mots  

L'incompréhensible dialecte des individus à appareil dentaire et peau acnéique n'est pas une langue étrangère. C'est simplement le signal qui vous indique que vous faites partie d'une génération, une ancienne, qui n'est ni au courant des actualités type nouveaux Youtubeurs, ni des soirées où se rendre, ni des mots à employer. Has been, en français, c'est a été.


Vous appelez des gens plus jeunes que vous "les jeunes"

Avez-vous déjà entendu des adolescents appeler des personnes plus jeunes qu'eux "les jeunes" ? Non, premièrement car les personnes plus jeunes qu'eux sont des enfants. Deuxièmement car ils sont trop jeunes pour se rendre compte qu'il existe une hiérarchie des âges. Troisièmement, car "les jeunes" est une expression exluante qui signifie qu'on n'en fait plus partie et que l'on se range dans une une autre catégorie, celle des vieux.


Vous savez qui est Priscilla

Avant d'être cette jeune femme en crise posant pour Entrevue afin de, dans le même temps, se sexualiser et montrer que sa poitrine a poussé, Priscillia était autre. Elle était celle dont vous fredonniez les chansons dans votre chambre de prépubère desespéré pour vous rappeler que vous n'étiez pas seul : Toujours Pas d'Amour. Ensuite, en vous sentant directement concerné, vous reprenniez le tube Quand Je Serai Jeune car vous attendiez avec beaucoup de hâte l'âge de votre majorité. Eh bien la voilà, et pendant ce temps, vos cadets pensent toujours que Priscilla est le nom d'une star de téléréalité. 


Pour vous, une femme de 35 ans n'est pas une milf ni une cougar, c'est juste une femme de 35 ans 

Car 35 ans n'est vieux que pour les jeunes. Pour ceux qui approchent de la trentaine, en revanche, c'est une étape à venir, pas si lointaine. Fustiger quelqu'un de 35 ans à propos de son âge reviendrait donc à s'auto-flageller.


Vous commencez à faire des plans en tout genre et à vous organiser pour les réaliser

Car si vous ne faites pas d'économies pour vous acheter un appart' ou une maison, qui le fera pour vous ?


Ça parle enfants

Fini les apéros ou ça parle sexe, soirées, joints. Hello les dîners (parfois à quatre, entre couples) où vos amis discutent bébé. L'horloge biologique des femmes, le bon âge pour procréer, vos prénoms préférés. L'avancée dans le temps signifie non seulement qu'il faut vous responsabiliser, mais aussi songer à fonder un foyer. Et même si vous vouliez faire autrement, le bourrage de crâne ambiant suffit à vous persuader qu'il y a un âge pour tout. 


Vous vous êtes déjà entendu dire « c'est plus de mon âge » ou pire, « c'était il y a 10 ans »

En regardant un vêtement trop excentrique, en veillant jusque tard alors que vous bossez le lendemain, en faisant un effort trop intense, quand on vous propose un dernier verre. Et ça, c'est vraiment la loose, le début de la fin. La liste est non exhaustive car il serait possible de continuer d'énumérer éternellement tous les aspects de votre dépérissement. Mais on va arrêter là, pour le bien de votre honneur, de votre santé et de votre cœur. A partir d'un certain âge, les crises cardiaques sont plus fréquentes. 

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La majorité des Lyonnais favorable à la fermeture du zoo du parc de la Tête d'Or selon une étude

Publié aujourd'hui à 19h00

par Antoine Lebrun

Pendant longtemps, le zoo du parc de la Tête d’Or a été considéré comme un incontournable du patrimoine lyonnais, un lieu où les familles viennent observer lions, girafes et singes au cœur de la ville. Mais à en croire une étude inédite réalisée par l’IFOP pour l'association de défense des animaux Paz, cette image est en train de vaciller. 56 % des habitants de Lyon se disent favorables à sa fermeture, estimant que les animaux y vivent dans des conditions inadaptées.

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Les résultats sont sans appel : 54 % des Lyonnais pensent que les animaux du zoo ne sont pas heureux. Un sentiment encore plus marqué chez les jeunes générations, avec 70 % des 18-24 ans et 66 % des 25-34 ans qui prônent une fermeture et un transfert des animaux vers des sanctuaires plus spacieux. Chez les électeurs de Grégory Doucet, 78 % soutiennent cette idée, preuve que la question animale devient un sujet politique majeur.

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L’attachement au zoo semble également s’effriter chez ceux qui le fréquentent. Parmi les visiteurs de l’année écoulée, 50 % estiment que les animaux ne s’y épanouissent pas et 53 % soutiennent la fermeture. Autre donnée intéressante : la parentalité n’influence pas significativement l’opinion, avec 53 % des parents d’enfants de moins de 15 ans favorables à une fermeture, contre 57 % chez les autres.

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La question pourrait bien peser dans les urnes en 2026. 58 % des sondés affirment que la condition animale influencera leur vote aux prochaines municipales, un chiffre qui grimpe à 71 % chez les électeurs de Grégory Doucet. La pression est donc plus forte que jamais pour la mairie de Lyon, qui ne pourra plus ignorer cette évolution des mentalités.


L'étude complète


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