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Bientôt un métro supersonique reliant Lyon aux plus grandes villes d'Europe !

Publié le 21 mars 2025 à 11h35

Modifié le 21 mars 2025 à 11h38

par Clémence Varène

On le sait, voyager à travers le monde, c’est vraiment très chouette. On découvre de nouveaux pays, de nouveaux horizons, de nouvelles cultures. Seulement voilà, au niveau de l'empreinte carbone et de la planète, prendre l’avion à tort et à travers n’est peut-être pas la meilleure idée du monde. Du coup, on se rabat sur le train, mais ça n’est pas toujours très pratique, et ça implique parfois 15 changements et 27h de trajets pour rejoindre sa destination. Heureusement, tout cela pourrait changer très prochainement.


Un réseau unique à travers le Vieux Continent

À l’heure actuelle, sauf si vous avez 18 ans, que vous venez de passer le bac et que vous êtes excité comme une puce à l’idée de passer 4 semaines dans un train avec Interrail, se déplacer en train en Europe n’est pas forcément un grand plaisir. À part pour certaines grandes capitales proches de Paris, accessibles directement, il faut passer par des réseaux nationaux morcelés, qui proposent des billets parfois équivalents au prix de vente d’un rein au marché noir.

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© Starline

Heureusement, la compagnie Starline, sans doute un brin optimiste, a décidé de répondre à toutes nos prières, en imaginant un système de réseau ferroviaire international qui permettrait de parcourir l’Europe du nord de l’Écosse au sud de la Turquie, en passant par tous les pays à l’est, à l’ouest et au centre. Un système de métro de l'Europe, composé de 5 lignes aussi fluides qu’un métro (pas celui de Paris bien sûr), qui passeraient par les capitales, mais aussi certaines grandes villes, comme Lyon en France ou Liverpool en Angleterre.


Le train du futur

Pour promouvoir le projet, la compagnie Starline promet des trains circulant à plus de 400 km/h, pour limiter les temps de déplacement au maximum, et imagine d’immenses gares semblables à des HUBS internationaux situées en périphérie des villes. Au programme, pas juste un quai et des guichets de l’enfer, mais bien des salles de concert, des centres culturels, et des espaces événementiels. Une espèce de gare de Châtelet-les-Halles en mieux, quoi.

Et à bord des trains, pas de première ou de seconde classe, mais plutôt des espaces chaleureux et partagés où déguster un bon café tout en profitant du paysage. Le tout agrémenté d’IA, et de systèmes de sécurité renforcés, pour proposer le système le plus attractif possible et tenter de réduire le nombre de vols européens de 80%. Et avec le système de plateforme unique pour tous les billets, on peut dire qu’ils ont des arguments de leur côté. Vive le “métro de l’Europe” !

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