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5 bonnes nouvelles qui font du bien cette semaine

Publié le 30 avril 2020 à 16h27

Modifié le 2 mai 2020 à 15h55

par Morgane Espagnet


1. L’Islande ne pêchera pas de baleine cette année

Les deux dernières entreprises impliquées dans la chasse à la baleine en Islande ont décidé de ne pas reprendre leur activité pour le reste de l’année, à cause de la pandémie de Covid-19. Pour les écologistes, cette interruption est une excellente nouvelle, quelle que soit sa durée. « Bien qu’il semble prometteur que la chasse à la baleine en Islande puisse s’arrêter définitivement, la cessation temporaire de la chasse à la nageoire doit devenir permanente », a déclaré Fabienne McLellan, codirectrice des relations internationales chez Ocean Care à Mongabay. Une bonne nouvelle pour les baleines et pour la protection marine dans le monde.

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2. Des paniers de fruits et légumes pour les plus démunis

Alors que le pouvoir d'achat de nombreux Français semble s'effondrer, certaines denrées voient leurs prix dégringoler. Pour aider les familles qui en ont le plus besoin, Pascal Bensidoun et Dadoun – deux gestionnaires des marchés alimentaires parisiens – ont organisé avec la Ville de Paris une grande vente de 2 000 paniers de fruits et légumes de 10 kg vendus à 20 €. Ces ventes de "Paniers des essentiels" vont pouvoir continuer grâce à Rungis qui joue le jeu en vendant ses aubergines, oranges, bananes, tomates ou poivrons à des prix défiant toute concurrence sur le marché. Les personnes dans le besoin qui souhaitent bénéficier des prochaines opérations peuvent directement appeler le 3975.

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3. La fin des vitrines éclairées
 

En pleine période de confinement, les commerces non essentiels sont fermés jusqu’à nouvel ordre. Si l’heure n’est pas aux virées shopping du samedi, les boutiques, pourtant, continuent de laisser leurs vitrines allumées comme si cela ne posait aucun problème environnemental. « Éteignez vitrines, enseignes et écrans vidéos, ils ne présentent plus d’utilité en ce moment puisque toute la population est confinée chez elle », demande le collectif Plein La Vue aux commerçants. Une mesure qui permettrait non seulement de faire un geste pour l’environnement mais également de réduire drastiquement les factures énergétiques, et donc de réaliser des économies non négligeables dans cette période incertaine.

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4. Cinquante euros d’aide pour réparer son vélo

Pour désengorger les transports en commun et favoriser la pratique du vélo, la Ville de Paris planche actuellement sur un schéma de pistes cyclables éphémères qui viendraient doublonner les lignes de métro. Le gouvernement va d’ailleurs offrir à tous les Français dans le besoin, un chèque de 50 € à partir du 11 mai pour faire réparer son vélo. Pour en bénéficier, c’est très simple : il vous suffit de vous rendre chez un des 3 000 professionnels ou associations référencés et si la somme des réparations s’élève à 50 € ou moins, alors vous n’aurez rien à débourser. La facture sera directement remboursée par l’État. C’est le moment d’en profiter ! 

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5. Une famille de renards s’installe au Père-Lachaise

Depuis la mise en place du confinement, les signes de la nature réinvestissant le milieu urbain sont nombreux. Le dernier en date, une famille de renards aperçue en plein cimetière du Père-Lachaise (20e). Si on estime qu’une trentaine de renards vivraient dans Paris, c’est la première fois qu’on en voit dans le Père-Lachaise. L’info a été aussitôt relayée par l’adjointe à la Mairie de Paris chargée des espaces verts, de la nature, de la biodiversité et des affaires funéraires, Pénélope Komitès, dans un tweet qui montre les renardeaux qui profitent de leur nouveau terrain de jeu de 43 hectares. Une situation de confinement parfaite pour les renards qui ne sont dérangés par aucun visiteur, aucune voiture et aucun prédateur.

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