istock-868288774

Attention, le cunnilingus peut vous coûter la vie  !

Publié le 27 août 2021 à 17h17

Modifié le 30 août 2021 à 10h14

par Agathe S

Vous êtes-vous déjà dit que cela pourrait être sympa de demander à votre partenaire de souffler dans votre vagin pendant un moment intime ? Il s'agit du "cunni soufflant", et vous devriez oublier cette idée aussi vite que possible. Cela pourrait vous causer de graves problèmes de santé, et même vous conduire à la mort. Plusieurs études ont vu le jour ces dernières années concernant cet incident aussi rare que surprenant. Celle qui a analysé ce phénomène le plus en détail a été publiée en 2013, et a été menée par des chercheurs de l’université de Florence, en Italie. Elle met en lumière notamment le décès de 12 femmes enceintes entre 1936 et 2008.

Une « embolie gazeuse »

Pour que cette pratique ait des conséquences sur la santé, il faut que quelques conditions soient "respectées". En effet, il faut que les vaisseaux sanguins soient dilatés – ce qui est en général principalement le cas des femmes enceintes –, que la personne souffle dans le vagin pendant plusieurs minutes, et enfin que l’entrée du vagin soit entièrement englobée par la bouche afin que l’air ne puisse pas s’évacuer. Vous risquez ainsi ce qu’on appelle une embolie gazeuse. Il s’agit du fait que des bulles d’air pénètrent dans les artères et obstruent ainsi le flux sanguin. Si les flux sanguins reliant le cerveau ou le cœur se bouchent, alors le risque de décès augmente. Dans la majeure partie des accidents répertoriés, la personne s’est effondrée quasi immédiatement, et la mort est survenue très peu de temps après.

Il faut quand même préciser que ces cas sont très rares – il y en a moins d’une vingtaine répertoriés selon différents articles sur le sujet –, et que le cunni est bien loin d’être une pratique dangereuse, au contraire.

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
nouveau-quartier-villeurbanne-filature

Un nouveau quartier XXL de plus de 5 hectares va voir le jour aux portes de Lyon

Publié hier à 19h00

par Antoine Lebrun

À Villeurbanne, les grues sont de sortie et les pelleteuses chauffent leurs moteurs pour un chantier qui va carrément redessiner un morceau de la métropole lyonnaise. Son nom ? La Filature. Un clin d’œil à l’histoire industrielle du site de l’ancienne usine ACI (Auto Châssis International), mais surtout un projet d’envergure qui va métamorphoser ce coin de Villeurbanne coincé entre le centre-ville et le campus de la Doua, comme l'explique Actu Lyon.

quartier-villeurbanne-filature-lyon
© Dumetier

700 logements, locaux commerciaux, crèche et tramway

Ici, sur plus de 5 hectares, c’est carrément un bout de ville qui est en train de pousser. Une mini-métropole dans la métropole avec 700 logements dont plus d’un tiers de logements sociaux, des locaux d’activités économiques, une crèche municipale et une station flambant neuve du tramway T6. Bref, de quoi donner un sérieux coup de jeune au quartier et de connecter encore un peu plus Villeurbanne au cœur battant de Lyon.

visuel-projet-immobilier-villeurbanne-filature
© Dumetier

Une première résidence livrée dès fin 2026

Et le timing est déjà lancé : la toute première pierre de la résidence sénior Aurea a été posée le 8 avril dernier, pour une livraison prévue fin 2026. Le reste des projets va s’échelonner jusqu’en 2028 avec des logements étudiants, des espaces verts, des commerces et même des logements en bail réel solidaire (parfait pour celles et ceux qui rêvent d’accéder à la propriété à prix doux).

Cerise sur le béton : dès le 1er trimestre 2026, le prolongement du T6 viendra desservir La Filature, connectant les Hôpitaux Est à La Doua en 20 petites minutes, avec des correspondances vers le métro A et les tramways T1, T3, T4 et T9. Autant dire qu’en 2028, Villeurbanne ne sera plus vraiment la même.


Source : Actu Lyon


À LIRE AUSSI