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Un étudiant amputé de plusieurs membres après avoir mangé des restes de nouilles

Publié le 20 mars 2023 à 17h52

Modifié le 22 mars 2023 à 17h39

par Nicolas Cogoni

Le responsable de cette terrible histoire : des nouilles au poulet qui avait été laissées dans le réfrigérateur pendant la nuit. Moins de 24h seulement après avoir englouti ce plat, l'étudiant de 19 ans s’est mis à ressentir de vives douleurs abdominales, des douleurs thoraciques, un essoufflement, des maux de tête, une raideur dans la nuque et une vision floue, le tout accompagné de nausées et de vomissements. Cinq heures avant son admission, une décoloration violacée au niveau de sa peau était apparue. La nuit précédente, son colocataire avait vomi juste après avoir mangé une partie du repas.

Le jeune homme a fini héliporté en urgence dans l'unité de soins intensifs d'un hôpital. À son arrivée, il souffrait d’une forte fièvre tandis que son cœur pulsait à plus de 166 battements par minute avant d’être mis sous sédatifs, détail un rapport publié dans le New England Journal of Medicine.


Une infection bactérienne agressive

Une fois les résultats des analyses sanguines obtenues, les médecins ont découvert qu’il s'agissait de la méningococcémie, causée par une bactérie appelée Neisseria meningitidis connue pour son rôle dans les méningites. Rapidement, ses reins ont lâché et son sang a commencé à coaguler, ce qui a provoqué la nécrose de certains de ses tissus

Malgré les soins intensifs et bien que son état se soit stabilisé, les tissus de ses doigts ont développé une gangrène, tout comme ses jambes et ses pieds. Il a malheureusement dû subir une amputation d'une partie de ses 10 doigts ainsi qu'une amputation bilatérale sous le genou, comme le relate Ladbible. Les médecins ne savent toujours pas ce qui a provoqué la présence de cette bactérie dans la nourriture.

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Deux nouveaux radars viennent d'être mis en service sur l'A46 à l'entrée de Lyon

Publié aujourd'hui à 09h00

par Antoine Lebrun

Si vous avez pour habitude de débouler un peu fort sur l’A46 en direction de Lyon, il va falloir lever le pied. Depuis le 10 avril, deux nouveaux radars autonomes, aussi appelés radars de chantier, ont été installés au niveau du viaduc de Sermenaz, entre Rillieux-la-Pape et Neyron, selon les informations de Lyon People. Objectif ? Faire ralentir tout ce petit monde qui confond souvent autoroute et piste de Formule 1.

Les autorités ne plaisantent plus. En pleine zone de travaux sur cet axe ultra-fréquenté, la vitesse a été drastiquement abaissée : 70 km/h au lieu des 130 habituels. Oui, on sait, ça pique. Mais ce n’est pas juste pour vous faire les poches : ces radars sont là pour assurer la sécurité des ouvriers et des automobilistes. Parce qu’un chantier sur un viaduc, c’est pas exactement le lieu idéal pour un excès de vitesse.

Des radars qui seront retirés au cours de l'année

Concrètement, le radar côté Paris-Lyon restera en place jusqu’au 3 juillet. De l’autre côté, vers Lyon-Paris, il faudra patienter (ou plutôt rouler sagement) jusqu’au 10 octobre avant de pouvoir espérer une accalmie. D’ici là, les bips vont pleuvoir et les boîtes aux lettres risquent de chauffer.

Moralité ? Si tu veux éviter de financer la prochaine pause-café de l’État en collectionnant les PV, on t’invite à garder un œil sur ton compteur. Surtout à l’approche de Lyon, où la vigilance est de mise. Parce que flasher, c’est bien… sauf quand c’est ton portefeuille qui en prend un coup.


Source : Lyon People


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