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Une rave de 22h dans le désert espagnol avec la crème de la techno mondiale

Publié le 15 avril 2022 à 09h01

Modifié le 17 avril 2022 à 07h43

par Ella Billet

Après plusieurs années d'absence, le festival Monegros revient dans le désert le 30 juillet. Au programme ? Une immense rave (Radical Audio Visuel Experience) de 22h, dispatchés sur 12 scènes et un line-up des plus grands maîtres mondiaux de la techno. Pas moins de 125 artistes sont attendus pour faire taper du pied les quelques 45 000 visiteurs attendus.

Il faut dire qu'avec ses 28 ans d'existence (première édition en 1994), le festival Monegros Desert Festival est devenu un véritable acteur majeur de la sphère des festivals électro. Ses programmations ont accueilli chaque année les figures les plus populaires et influentes du genre, de Carl Cox à Skream, en passant par Richie Hawtin, Underworld, Loco Dice, ou encore Skrillex.

Les pontes de la techno au Monegros Festival

Pour cette édition 2022, quelques têtes d'affiches ont déjà été dévoilées comme Paul Kalkbrenner, Vitalic, Amelie Lens, Ben Sims, Demuja, FJAAK, Folamour, I Hate Models, Laurent Garnier, Len Faki, Loco Dice, Mafalda, Mella Dee, Pan-Pot, Paula Temple, Richie Hawtin, Sam Paganini, Seth Troxler, SPFDJ, VTSS ou encore le Wu Tang Clan. Techno, house, acid, hardcore, reggae électronique avant-gardiste, hip-hop ou drum & bass... Les registres seront nombreux pour faire vibrer les puristes. Accrochez-vous, ça va envoyer du lourd ! 

Bonne nouvelle, les bordelais pourront s'y rendre directement en voiture. Le temps de trajet total s'élève à 6h de route. Il faudra passer par Mont-de-Marsan et Pau, puis passer la frontière espagnole à Candanchú, redescendre vers Jaca, Barbastro avant d'atteindre  la communauté autonome d'Aragon et la ville de Fraga. Où se trouvera le paradis de la fête ! Un joli périple en perspective ! 

Monegros Desert Festival
Samedi 30 juillet 2022
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Deux nouveaux radars viennent d'être mis en service sur l'A46 à l'entrée de Lyon

Publié aujourd'hui à 09h00

par Antoine Lebrun

Si vous avez pour habitude de débouler un peu fort sur l’A46 en direction de Lyon, il va falloir lever le pied. Depuis le 10 avril, deux nouveaux radars autonomes, aussi appelés radars de chantier, ont été installés au niveau du viaduc de Sermenaz, entre Rillieux-la-Pape et Neyron, selon les informations de Lyon People. Objectif ? Faire ralentir tout ce petit monde qui confond souvent autoroute et piste de Formule 1.

Les autorités ne plaisantent plus. En pleine zone de travaux sur cet axe ultra-fréquenté, la vitesse a été drastiquement abaissée : 70 km/h au lieu des 130 habituels. Oui, on sait, ça pique. Mais ce n’est pas juste pour vous faire les poches : ces radars sont là pour assurer la sécurité des ouvriers et des automobilistes. Parce qu’un chantier sur un viaduc, c’est pas exactement le lieu idéal pour un excès de vitesse.

Des radars qui seront retirés au cours de l'année

Concrètement, le radar côté Paris-Lyon restera en place jusqu’au 3 juillet. De l’autre côté, vers Lyon-Paris, il faudra patienter (ou plutôt rouler sagement) jusqu’au 10 octobre avant de pouvoir espérer une accalmie. D’ici là, les bips vont pleuvoir et les boîtes aux lettres risquent de chauffer.

Moralité ? Si tu veux éviter de financer la prochaine pause-café de l’État en collectionnant les PV, on t’invite à garder un œil sur ton compteur. Surtout à l’approche de Lyon, où la vigilance est de mise. Parce que flasher, c’est bien… sauf quand c’est ton portefeuille qui en prend un coup.


Source : Lyon People


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